L'éveil des cendres (EN ARRÊT)

Nouvelle vie, nouveau devoir et .... nouveau défis

Depuis mon départ de Vielle-Montagne et mon arrivée à Val-Des-Lords les jours se transformaient en semaines et les semaines en mois, deux pour tout dire. À peine étais-je arrivé que le Roi me transporta dans mes nouvelles appartements, une grande tour de trois étages. Deux servants s'occupaient des tâches ménagères et dix sang-dragon, des fantassins entrainés depuis la naissance pour la protection du chevalier-dragon, gardaient la tour. Mes tâches consistaient à la gestion territoriale, militaire et diplomatique de la citée. J'étais en gros le conseiller multifonctionnelle du Roi. Beaucoup moins palpitant que dans mon imagination, je troc l'épée pour la plume le plus souvent. Dans les premiers jours d'installation dans ma tour je reçu une lettre avec le sceau du chef de l'ordre, Ysran l'avait sceller le plus solidement possible et je commença à paniquer de pars son contenu :

Lief, si seulement j'aurais pu tout te dire à Vielle-Montagne... Mais les oreilles indiscrètes rôdent partout si tu vois ce que je veux dire, même en notre ordre. Ta descendance a un impact  beaucoup plus grand que seulement ta magie. Je ne peux tout t'écrire dans cette lettre, mais je vais tenter de venir rendre visite à ton Roi, tu dois partir de Val-Des-Lords au plus vite et accomplir ta destiné et en apprendre sur toi-même. Ta famille à eu un impact sur tout Akanaei, mais je ne sais pas comment. Tu dois le découvrir et je vais faire de mon mieux pour t'aider, désoler pour être si mystérieux, mais je ne dois pas trop en dire dans cette lettre...

Ysran Bolder. Vielle-Ville.

Quelque chose m'échappais, comment pouvais-je être un des descendants du côté de mon père de Loki, qui est un humain et que tout ma famille paternel sont des elfes, enfin je crois. Tant de mystère m'Harcelaient que j'oublia que le Roi m'avait convoqué pour la récentes déclaration d'une invasion cendrés-barbares. Comment c'est créatures ont pu s'allier diplomatiquement à des humains ?Niveaux intelligence, les deux peuple sont selon les dires, comparable à des roches et dire que ma famille en descend est incroyable.

Je descendit la tour, ma salle étant la plus haute étage de celle-ci, ouvrit une porte et me retrouvas directement dans la salle d'attente du château. La tour étant le bâtiment le plus proche de celui-ci. Rovert me salua et me serra la main, mais Byre ne daigna même pas me regarder. J'entra directement dans la salle et vis qu'Éloria était assise au côté de sont père qui était lui-même sur son trône. On dirait qu'il avait vieillit de dix ans depuis que je l'avais vu, deux mois plus tôt. Mes obligations m'avais obligé de m'enfermer dans ma tour pendant les deux derniers mois sans voir personne d'autre que ma nouvelle écuyer Aérisse Narissar, une elfe au cheveux de feu et aux yeux verts typiques des elfes, comme les miens d'ailleurs. Je suis elfes de part mes yeux, ma grandeur et mes oreilles, mais le reste est parfaitement humain. J'avais envoyer il y a quelques jours Aérisse chercher des vivres d'un village voisin et je les laissé se reposer pour le moment.

-Lief... ou devrais-je dire Ser Lief Valarian maintenant ?

-Appeler moi Lief monseigneur ou comme il vous plaira.

Sa voix était devenu plus un chuchotement qu'un son et ses gestes étaient lents et pesants, le pauvre il avait tellement travaillé ces derniers jours.

-Vous m'avez fait demander ?

-Oui Lief....Les nouvelles sont mauvaise venant du nord, les elfes vienne au sud pour se réfugier dans la forêt des pins et les nains on complètement barricadés leurs portes. Le fort Borarth est tombé hier au main des barbares qui descende du col de Haute-Stagme.

Borarth.... Il appartenait à la famille Valon, en espérant que  Ser Manders n'y était pas ... Si les barbares arrivaient du col, il évitait sans-doute de se frotter au nain et donc de contourner notre seul bouclier. Cela signifiait aussi que les cendrés allaient descendre eu aussi par ce col, mais par l'est et nous prendre en cisaille ! Si bien sur les cendrés sont au nord, encore là nous sommes incertains.