L'éveil des cendres (EN ARRÊT)

Le feu du nord

ET OUI... JE ME SENTAIS MAL D'ARRÊTER L'ÉVEIL COMME ÇA, ET VU LE PASSAGE AUX DEUX-MILLES VUES, J'AI RÉALISÉ À QUEL POINT JE SUIS ATTACHÉ À CE LIVRE, BREF JE FAIS CE CHAPITRE POUR VOUS DIRE QUE J'AI PAS ABANDONNÉ, ET JE TRAVAILLERAIS DUR POUR RÈGLER TOUT LES PETITS SOUCIS. ALORS J'AI DÉCIDÉ DE FAIRE UN CHAPITRE SUR UN AUTRE DES RÊVES DE LIEF NON PARCE QUE J'AI PAS D'INSPIRATION, SEULEMENT POUR VOUS REMETTRES DANS LE BAIN ;-) ( PS, Le soundtrack de game of thrones ma fortement aidé et inspiré pour ce chapitre... Si vous voulez vraiment vous mettre dans l'histoire, je vous conseille vraiment de faire jouer cette musique pendant la lecture ! ) 

Un autre de ces rêves... Il faisais extrêmement froids... Et la neige recouvrait le sol tout entier. Au loin on pouvait apercevoir d'énorme montagne enneigé, donnant à ce désert glacial un paysage majestueux ... Et magnifique. 

Des milliers d'homme m'accompagnaient, mais bizarrement, de un il y avait seulement des humains et de deux, j'étais en face de tout ce beau monde. À cause du froid glacial, tous portaient comme armure un gros manteau de laine de mouton, quelque-uns ayant le luxe d'avoir des gants et des chapeau, mais la plupart affrontaient le froid avec comme seul amis, leur manteaux et leur armes. 

En face de nous... Ils y avaient le château le plus énorme que ma vie mes permis de voir, noir était la brique, noire, haute et puissante étaient les muraille et énorme était l'armée d'acier barbare qui nous faisait face. Chacun des hommes de notre armé me regardaient, dans tout leur yeux je voyais l’ardeur d'une espoirs, je voyais la combativité s'animer dans chacun d'eux... Je voyais en eu un nouvel espoir pour notre monde. Un escorte de cavalier vint se joindre à mes côtés... Dans le lot je reconnus Cariade et Aérisse, mais les autres m'étais inconnues... Tous ensemble, nous formions une ligne des plus coloré. Ils y avait trois hommes, une humaine, mage à première vue et un elfe ainsi qu'un nain. Cariade vint directement à ma droite, et avec son sourire habituel, prit mon avant-bras et le leva.

-Pour le prince du nord !!! Criait-elle ardemment.

Pas encore ce prince du nord... Je ne suis pas un prince par l'amour des dieux ! Mais mes protestations silencieuses n'arrêtèrent guère les cris de guerres des hommes sous mon commandement. Dans chacun d'eux se voyait une flamme, une flamme de liberté, une flamme qui disait haut et fort que chacun était près à perde la vie pour moi et la liberté. Pendant ce cours instant de gloire, je pris part au cris, peut-être par réflexe, ce n'étais qu'un rêve de toute façon ! Ou une prémonition ... 

Mais bien sur, en Akanaei le plaisir est précoce face au danger. Un ombre immense obscurcit le ciel... Mais quand je dis immense, c'est immense. Pendant un instant la nuit frappa de pleins fouet le jour et le château paru comme un vulgaire fétu de pailles face aux immenses griffes de la créature s'y accrochant, aile déployée, la bête scruta le futur champs de batailles. Ses yeux vert gros comme deux chevaux perçurent chaque infimes détails de notre armée et pendant que ses écailles faisant la taille d'une porte des murs de Val-des-Lords frémissaient, la bête s’élança en directions des hautes montagnes au loin laissant quelque briques du château tomber à sont décollage. Cari paru ébahit et remplis de peur lorsqu'elle dit :

- Drogan... C'est Drogan'Alhash, vite Lief, c'est maintenant ou jamais !!!

Au loin, le mur ennemis commença à avancer, chaque adversaire avec une armure de plaque et ils étaient tellement proche que l'ont pouvait sentir leur respiration lorsque je réussis, sous le choc, à crier non un discour de bataille, mais un seul mot :

-Chargé !!!

Et la horde m’entraîna dans la charge. Cariade encochait déjà sa flèche sur sont cheval tandis que les autres cavaliers se préparait au combat. Aérisse eu à peine le temps de dégainer que les deux armées se fracturèrent dans un torrent d'acier et de cris d'agonie.