Comme le ciel

2.8K 61 7
                                    

- Paul ! Est-ce que tu veux bien garder ta sœur pendant 10 minutes s'il te plaît ? Il me manque des choses pour le souper. Je reviens.
- Bye-Bye Papa !

Je sort de notre appartement et me dépêche à aller à la voiture. Je sais bien que c'est inamissible de faire garder un enfant de 7 ans par un enfant de 10 ans. Mais je ne n'est pas le choix. Personne n'est avec eux à la maison. Je n'appellerais sûrement pas une gardienne pour 10 minutes.

En plus ils sont calme. Je coupe le moteur quand j'arrive devant l'épicerie. Je regarde combien j'ai dans mon porte feuilles. Je crois que j'ai assez.

Depuis que ma femme est morte, il y a 2 ans, mes enfants et moi vivons avec qu'un salaire. Je suis contremaître dans une usine proche de chez moi. Je ne gagne pas assez pour avoir un vie de rêve, mais assez pour 3 personnes.

Depuis que Judith n'est plus la, tout à changer. Je sortait plus et j'avais des amis. Maintenant, je reste à la maison. Je m'occupe de mes enfants.

Je me dirige vers l'aller des pâtes. Il m'en manque pour faire de la lasagne.  Il me manque aussi de la sauce. J'en achète aussi. Je vais faire aussi un accompagnement. Ça va être des frites.

J'allais oublié ! J'ai promis que j'allais acheter du jus pour Maïka. Je me dépêche à y aller. Je ne regarde pas où je vais et fonce dans un homme. Il se retourne. Nos regards se croisent.

Merde. Il a les yeux bleu. Bleu comme ceux de Judith. Mon cœur manque un battement.
- Excusez-moi ! Je ne vous avez pas vu !
Je lui fais un sourire et il me répond:
- Ce n'est pas grave. J'étais dans le chemin.

Il me fait lui aussi un sourire et part. Je reste planté la un instant. Il a les yeux tellement bleu. Je me gifle mentalement. Il faut que j'arrête. Il a juste les yeux bleu.

Je me remet à marcher et va prendre le jus. Quand j'arrive à la caisse, il n'y a personne. Même pas le bel inconnu. La caissière me dit salut et discute avec moi. C'est une connaissance.

Elle scanne mes produits. Ce n'est pas long. Quand elle a fini, elle me dit le prix.
-  13,36 $ s'il vous plaît !

Non. Je n'est pas ce montant. Il me manque 6 $ ! Je me dépêche à fouiller dans mon portefeuille pour voir si j'ai de la monnaie. Non. Shit. Shit. Shit
- Il... Il me m-manque 6 $
- Ah. Est-ce que vous voulez que je vous enlève un produit.

Je me sens rougir jusqu'au oreille. J'ai tellement honte. Je n'est pas pris les taxes en compte.
-Tenez. Moi j'ai 6$

A coter de moi il y a l'inconnu au yeux bleu. Il tends les 6$ que je dois. Je ne sais pas si c'est possible mais je rougis encore plus. La caissière met le reçu dans le sac et me le donne. Je part presque ne courant.

Je ne suis pas impolie alors j'attends l'homme dehors. Quand il sort je lui dit:
- Merci beaucoup ! Je sais que c'est juste 6$ mais je tenais à vous remercie sincèrement.
- Ah ! Eh bien sa me fait plaisir !
- Je vais vous le rembourser ! J'y tiens.
- D'accord. Vous n'avez sûrement pas l'argent sur vous. Je vais vous donner mon numéro.

Je lui tend mon portable et il tape son numéro. Il me le rends et part. À la dernière minute je lui demande:
- C'est quoi votre nom ?
- Dan.

Il me lance un sourie et part. Je regagne ma voiture et roule jusqu'à mon appart' .

***
2 jours plus tard

Sa fait 2 jours et je pense encore à cet homme de l'épicerie. Il a les yeux tellement bleu. Il a aussi de beau cheveux brun-noir.

Je ne l'ai toujours pas appelé. Je crois que je vais le faire. Les enfants sont à l'école et je suis en congé. Je compose son numéro. Après 2 sonneries il répond :
- Oui allo ?
- Bonjour ! Est-ce bien Dan qui parle ?
- Oui. Qui est-ce ?
- Henri. De l'épicerie. Je vous devais 6$ .
- Ah oui ! C'est vrai ! Où est-ce que je peux vous rencontrer ?
- Euh...À mon appart.
- Ok. Textez moi votre adresse.

Et il raccroche. Bon, un pur inconnu va venir chez moi. Quelle bonne idée.

***
Ellipse d'une semaine

J'ai rendez-vous avec cet inconnu. Quand il est venue chercher ses 6$, il est resté un peu chez moi. Il a bu un café. On a fait connaissance. Il a 39 ans. J'ai 3 ans de plus que lui. Il habite à 15 minutes de chez moi. Ce qui est parfait car notre rendez-vous est chez lui.

Hier, il m'a dit que je suis son genre de gars. Je lui est répondu que je n'étais pas gay et que je cherchais personne. Je lui est expliqué pour Judith.
- Je comprend j'attendrais, qu'il me répond.
- Mais je ne suis toujours pas gay. Je ne peux pas le devenir, je pensais que cette argument allais marcher.
- Je sais. Mais on tombe amoureux d'une personne et non d'un sexe.

J'avais trouvé sa tellement cliché que j'ai ri. J'en rie encore. Ensuite il est parti. Mais bon, j'ai quand même accepté de souper avec lui.

Mais, je ne sais pas si je vais tomber en amour. Je me suis fait une carapace après le mort de Judith. Je n'est pas envie d'être encore blessé.

Et sa ne va pas être ses yeux bleus comme le ciel et comme ceux de ma femme qui vont me faire changer d'avis. Enfin je crois.

XxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxX

J'espère que sa vous a plu !

* Désoler pour les fautes.

Voici les personnages que j'ai imaginer:

Henri:

Henri:

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Dan:

Dan:

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Recueil OS ( BoyXBoy )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant