Policière rebelle (en correction)

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Je dus m'endormir à un moment donné car je me redressai en sursautant en sentant quelqu'un bouger à côté de moi.

Une infirmière se tenait à ma gauche est réglait la perfusion de Joy. 

-Excusez-moi de vous réveiller, monsieur. Fit-elle. 

Je me frottai les yeux en soupirant. 

-Ce n'est rien, il est quel heure? Demandai-je. 

-Quatre heure du matin. Me dit-elle avant de sortir. 

Javais dormis douze heures d'affilées? Je devais vraiment être crevé. Je n'étais visiblement pas le seul à traîner au lit. 

Joy dormait toujours et l'électrocardiogramme bipait encore à intervalle régulier. Je me levai et sortit silencieusement de la chambre pour aller en direction de la cafétéria. 

Je me pris un café et allai à l'extérieur pour prendre l'air. 

Je buvais mon café, adossé contre le mur, regardant les étoiles. 

Je sortis mon téléphone et répondit aux messages que Calvin et mes collègues m'avaient envoyés.

"Toujours endormie pour le moment, pas d'amélioration."

L'air frais du mois d'avril acheva de me réveiller et quand je retournai dans la chambre de Joy, je m'approchai d'elle doucement et allai l'embrasser sur le front avant de me rasseoir sur le fauteuil à côté d'elle. 

Les heures continuèrent de passer et bientôt, il était déjà 8 heure du matin. Le docteur de la veille entra dans la chambre. 

-Pouvez-vous venir dans le couloir, monsieur? Me demanda-t-il.

Je hochai la tête et le suivis. 

-Voilà, l'état de votre amie est stable, il est quasiment sûr qu'elle s'en sorte maintenant. Si tout va bien, on lui enlèvera l'aide respiratoire dans quelques heures. Me dit-il. 

C'était comme si un poids s'était envolé de mes épaules et je pus enfin respirer correctement. 

-Merci, docteur. Lui dis-je. 

Il me sourit et partit voir une autre patiente ayant besoin de ses services. 

Je retournai au près de Joy et envoyai un messages aux garçons. 

"Le médecin a dit qu'elle était dans un état stable, elle est hors de danger et il retire l'aide respiratoire dans quelques heures si tout vas bien."

Je repris la main de Joy après avoir envoyé les messages et allumai la télé. 

Certaines chaînes parlaient du kidnappeur en prison et de l'agent qui avait sauvée les cinq enfants à l'hôpital et qui était à présent entre la vie et la mort. 

J'éteignis la télé, agacé par ces gens qui pensait tout savoir et reposai le regard sur Joy. 

deux heure plus tard, le tuyau de Joy avait était retiré, elle respirait maintenant toute seule. C'est à ce moment là que Calvin débarqua. 

-Comment elle va? Demanda-t-il. 

Je haussai les épaules. 

-Il n'y a pas de changement. Elle respire seule, c'est déjà bon signe.

Il hocha la tête. 

-Il y a des journalistes devant l'hôpital. M'informa-t-il. 

Je me levai et allai à la fenêtre qui donnait sur la rue. En effet, des journalistes se tenaient là, avec les caméras. Il devait y en avoir trois ou quatre.