bad decision

chapitre 100

J'étais assise sur la chaise de métale de la salle d'interrogatoire les menottes liées à la table. J'avais les stupides enquêteurs devant moi. Ils sont tellement cons, ils pensent vraiment pouvoir me faire parler comme ils l'ont fait avec Anderson? Ils peuvent continuer de rêver.

"Écoutes, c'est très simple, tu nous dis qui est ton partenaire et on te laisse six mois en prison. Tu ne trouves pas que c'est une bonne entente?"

"Je voudrais bien vous dire qui est mon partenaire, le seul problème c'est que ce n'est jamais le même." Dis-je en lui faisant un clin d'oeil.

"Tu ne veux vraiment rien comprendre? On a presquisitioné ton ordinateur et tes contrats. Tu vas tomber bas. Aide-nous au lieu de faire comme si tu ne connaissais rien."

"Vous pouvez fouiller dans mon ordi j'ai aucun problème avec ça. Ne lisez pas mes messages avec mes partenaires, vous n'êtes pas prêts pour ce genre de conversations. Ah! Et les photos n'ont plus."

Il soupire et masse ses tempes pendant que l'autre enquêteur fais des allers retours derrières sont partenaires. Je sens qu'ils vont craquer avant moi. Je leur souris et croise mes doigts ensemble attendant que l'un d'entres eux parlent. Je ne suis pas pressée, je vais avoir une sentence à vie, alors disons que j'ai tout mon temps.

"Pourquoi vous n'acceptez pas comme Anderson? On vous a sur écoute et les contrats. Vous êtes finis." Dit l'enquêteur debout.

"Vous les avez lu mes supposer contrats?"

"Pas encore, mais ce n'est qu'une question de temps. Il est évident que les noms des personnes figurées sur le bas des contrats seront arrêtées."

"Justement, où est l'avantage à retourner à l'extérieur. Après une journée je vais m'être fait tirer une balle entre les deux yeux." Dis-je en riant de leur imbécilité.

"On va aller chercher tes contrats et on va analyser ce qui est mieux pour toi."

"Mais ne vous gênez pas. Ça me touche que vous faites attention à moi comme ça."

Les deux officiers roulent les yeux et sortent de la salle. Je trouve qu'ils ont l'air un peu à bout de nerfs, je ne comprends pas pourquoi. Je suis là pour les aider. J'ai hâte de voir leurs réactions quand ils vont lire les dossiers. Ils reviennent et laissent tomber un gros dossier épais qui créer un son lourd quand il touche la table.

"Je commence la lecture du premier contrat?" Dis-je en tendant ma main vers la pile.

"Non, je vais le faire pour vous." Dit-il en ramenant la pile vers lui.

Il ouvre le dossier et il prend le premier contrat. Il avait un air arrogant jusqu'à ce qu'il commence à le lire. Son visage tombe et je recueille son sourire arrogant.

"Quoi? J'ai fait une faute de français dans le contrat?" Dis-je en souriant arrogament.

"C'est quoi cette blague?" Dit-il en reversant le dossier dans les airs.

Oh oui, il est à bout. Son coéquipier ne comprenant pas, ramasse une feuille sur le sol et la lit avant de la chiffonner.

"La chienne." Dit-il dans un soupire.

"Excusez-moi, mais vous parlez de votre femme n'espèce?"

Il me lance un regard noir avant de sortir de la salle en claquant la porte.

"Que se passe-t-il messieurs? Vos preuves ne sont pas convenantes? Regardez dans mon ordi, j'en garde toujours une copie."

L'enquêteur se lève et il va chercher mon ordinateur et il revient en le tendant devant moi.

"Ton mot de passe."

"Hum, c'est quoi déjà? Laisse-moi y réfléchir." Je faisais semblant de réfléchir pour le faire fulminer encore plus.

"Rentre-le ou j'envoie ton ordinateur au renseignement."

"J'aimerais les voir essayer de déverrouiller mon ordi." Je fais une arme avec mes doigts et je fais semblant de tirer une balle.

"Rentre-le."

"Il manque le mot magique."

Il baisse les yeux et il prend une grande respiration. Il essaye de se calmer et il rajoute le mot magique. Je souris fièrement et j'entre mon mot de passe. Il reprend l'ordinateur des mains et il fouille chaque dossier.

"J'aime bien les photos de bébés chiens." Dis-je en souriant.

Il referme l'ordinateur violement et sort de la pièce en furi.

"C'est quoi tu n'aimes pas les bébés chiens?" Dis-je en riant.

J'avais une entente avec Dylan, si l'un de nous se faisait pincer on devait détruire toutes les preuves. Je n'avais pas peur des c'est deux clowns. Je savais que Dylan avait mes arrières comme j'avais les siennes. La porte s'ouvre, ils ce sont calmés les deux princesses. Mon sourire tombe quand je vois Anderson rentrer. Je vais le tuer. Il s'assoit sur la chaise en face de moi et il me regarde sans rien dire. Mes poings se serraient et je le regardais directement dans les yeux.

"Je crois qu'il est temps de mettre les cartes sur table." Dit-il en s'accoudant sur la chaise.

J'hausse les épaules et je roule les yeux.

"Agent d'infiltration, on a inventé un réseau pour arrêter celui de Dylan, mais comme une conne tu en as créé un réseau. Maintenant on s'est mis sur ton cas."

"Parce que arrêter une fille innocente c'est mieux que d'arrêter un homme qui prostitue des mineurs. On voit où sont vos priorités." Dis-je en riant.

J'essayais de cacher mes réactions face à ses aveux. Si je démontre que ça m'atteins je suis morte.

"On t'as sur écoute."

"J'ai coupé les micros de tes caméras de surveillance avant que t'arrives."

"J'avais un micro sur moi."

"Tu t'es jamais demandé si j'avais réussi à le débrancher et pourquoi j'étais si prêt de toi?" Dis-je en souriant.

"Si j'étais toi j'irais écouter les enregistrements, je ne suis pas convaincu que ça marche rendue au procès."

Il était toujours calme étonnement. Il me surprend puisque d'habi... non laisse. J'avais oublié que je ne le connaissais pas.

"Luna, tu sais ce qu'on a vécu, ce n'était pas du flop pour moi."

Je le regarde et je lui lève mon majeur.