Choix 1.2.2 : Tu te tais et le laisse faire jusqu'à la fin de la nuit.

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Choix 1.2.2 : Tu te tais et le laisse faire jusqu'à la fin de la nuit.


Tu décides de faire ce qu'il te dit et ne bouge pas. Tu attends, dans un coin. Cherchant à occuper ton esprit.

Ainsi, les heures passèrent lentement. Le gardien courait fermer les portes. Il regardait les caméras, courait partout, paniquait à chaque heures passées et soupirais de soulagement en même temps. Mais, alors qu'il avait fermé la porte à France, Espagne entra et fonça sur toi. Il recula son bras, pour te donner un coup. Il serait fatal, c'était un robot et avec sa vitesse, tu serais propulsé contre le mur et tu mourrais. Mais le gardien avait réagis par impulsion. Et il te poussa sur le côté. Ce n'est pas toi qui te pris le coup. Ce fut le gardien. Tu entendis un écœurant crac, dont tu ne voulais pas connaître l'origine. Et tu vis que malheureusement pour lui, le coup ne lui avait pas été fatal. Et qu'il agonisait, du sang coulant de sa bouche. Ses yeux fermés de douleur, alors qu'il se faisait traîner par le lapin brun jusqu'à la salle des costumes.

Le choc t'avais d'abord empêché d'agir, mais tu te repris. Tu ne pouvais pas le laisser mourir comme cela. Pas après qu'il t'ait sauvé la vie, sachant très bien qu'il n'allait pas mourir du coup dans la poitrine qu'il avait reçu. Il l'avait fait en toute conscience de cause. Et tu ne voulais pas le laisser mourir comme ça. Tu saisi ton portable et cherchait rapidement une arme quoi que ce soit que tu pourrais utiliser. Tu pris la tablette, espérant que cela suffirait. Et tu partis en courant dans la même direction que le lapin.

Après seulement quelques secondes de course, tu vis le lapin juste devant la porte de la salle des costumes. Tu fonçais alors sur lui, tablette en main et tu lui explosais sur l'arrière de la nuque, espérant l'éteindre. Le bouton s'enclencha et aurait dû l'éteindre. Mais cela ne fonctionna pas, il se retourna et te saisit à la gorge. Tu regardais le gardien, il avait perdu beaucoup de sang, tu pouvais voir les trainées de sang sur le sol grâce à la lampe torche de ton téléphone qui était tombé sur le sol. Tu regardais ensuite l'animatronique. Il n'avait plus rien du robot que tout le monde voyait sur scène. Il était plus humain physiquement. On aurait presque dit qu'il était vivant. Il avait de beaux cheveux marron, de magnifiques yeux verts émeraude et la peau mate. Il était très beau il n'y avait pas à dire. Mais tu te demandais comment le lapin était devenu ce robot humanoïde. Qui les avait changés... ? Qui... ? Tu manquais d'air. Et tu sentais qu'il allait te briser la nuque, cela se voyait dans son regard étonnamment plein de sentiments tels que la haine, la colère, la tristesse et la mort.

Tu pensais alors mourir, quand tu vis l'homme regarder derrière lui. Il relâcha légèrement son emprise sur ta nuque, avant de te laisser tomber au sol. Tu te tins la nuque, et le regardais s'éloigner avec le gardien. Tu regardas là où regardais l'animatronique, mais il n'y avait rien. Rien à part une inscription « It's me ». Et un pied de biche. Tu le pris sans même réfléchir, couru vers le lapin qui venait de poser le gardien sur la table et prendre la tête d'un costume de loup pour la lui mettre, et tu administras un violent coup sur la nuque du robot. Et tu ne réfléchis pas, tu le frappas, encore et encore jusqu'à ce qu'il ne puisse plus bouger. Une fois cela fait, tu pris ton téléphone et appela les secours. Au départ, ton téléphone sonnait dans le vide. Puis, 6h sonna et enfin, quelqu'un répondit.

Tu pus enfin sortir d'ici, après cette horrible nuit. Tu vis les médecins se précipités dans une ambulance, un brancard sur lequel le gardien était entre la vie et la mort.

~ Time skip ~

Cela faisait maintenant plusieurs mois. Tu avais mené ton enquête et tu avais réussi à faire enfermer le patron et fermer son établissement. Tu avais aussi rendu visite au gardien, qui était dans le coma. Les médecins avaient dit qu'il avait eu beaucoup de chance de s'en sortir, mais qu'il risquerait d'être dans le coma à jamais. Mais tu n'en avais que faire, tu l'avais sauvé après que lui t'ai sauvé. Mais tu regrettais qu'il soit plongé dans un sommeil éternel. Toutefois, au moins tu savais qu'il ne souffrait pas. Et qu'un jour, il se réveillerait et il reprendrait sa vie. Et vous pourrez apprendre à vous connaître et peut-être devenir de très bons amis, qui sait ?

Bonne fin.

Vos choix détermineront votre destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant