Choix 1 du Chemin de droite 1.3.2.1

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Choix 1 chemin de droite :

Tu as décidé de jouer les héros et tu sautes sur le coq devant toi. Il sembla ne pas s'y attendre car il ne réagit pas tout de suite. Tu en profitas alors pour appuyer sur le bouton de veille. Et celui-ci fonctionna. Quelques instants tout du moins, car à la place du robot coq un peu effrayant, se trouvait maintenant un jeune homme de ton âge, mais avec une queue de coq aux plumes bleues, blanches et rouges. Il avait une légère barbe blonde et ses cheveux étaient d'un beau blond et un peu longs. Il avait de beaux yeux bleus qui regardaient le sol autour de lui. Il sourit tristement, puis se dirigea vers l'un des jouets au sol. Il prit délicatement une rose en bois entre ses doigts et celle-ci, comme par magie, se transforma en une vraie rose. Alors qu'il la sentait, elle se mit tout d'un coup à fanée. Et ses pétales noirs tombèrent sur le sol. Le jeune homme sourit tristement à nouveau. Et te parla d'une voix douce bien qu'empli d'une tristesse non dissimulée.

« F : Cette rose, c'était celle que j'avais voulu offrir à Alfred le jour de son 8ème anniversaire. Mais il n'a jamais pu recevoir ce présent que j'avais mis tant de temps à confectionner. » Il se leva et se tourna vers toi.

« F : Je suis Francis Bonnefoy. Et nous avons été assassinés, mes amis et moi, par le même homme qui veut te tuer, il y a maintenant une vingtaine d'années. Et parce que tu as eu suffisamment de courage pour éteindre France le coq, tu vas pouvoir vivre et nous sauver.

Toi : V-vous sauver... ? Oui ! Oui je vais vous venger, Francis. La police saura tout et dès demain, cet homme sera en prison.

F : Prends le programme implanté dans le tête de France. Ainsi, je serais complètement libre. Et je pourrais tous nous libérer, quand le monstre qui nous sert de créateur sera derrière les barreaux pour ses crimes.

Toi : Combien d'enfants a-t-il... ?

F : Il n'a tué que nous 5. Heureusement, les autres étaient très en retard et n'ont pas été tués.

Toi : Combien auriez dû vous être ?

F : Une dizaine. C'était pour le petit frère d'un ami. Et il était adorable. Heureusement, mon propre petit frère était bien trop timide pour venir... Sinon, je ne me le serais jamais pardonné.

Toi : Je suis heureux/heureuse pour les autres, bien que terriblement désolé(e) pour vous... Mais, vous serez vengés. Je vous le promets. » Il te sourit tendrement. Et il s'approcha tout doucement de toi, comme pour ne pas t'effrayer. Puis, il posa sa main sur ta tête doucement et la caressa, puis il se pencha légèrement vers toi et tu pu voir ses yeux remplis de douceur et de bonté.

« F : Merci beaucoup (nom). Ton cœur est aussi grand et pure que ton âme. Si seulement j'avais pu vivre plus longtemps, nous aurions peut-être pu nous rencontrer... Et alors, peut-être serions-nous de très bons amis. Voir peut-être plus.

Toi : Je suis ton ami(e), Francis. Et je vais t'aider. Toi et les autres, je t'en fais le serment. » Il sourit à nouveau et posa doucement sa main sur ta joue. Puis, il se pencha en avant, son front toucha alors le tiens dans un geste tendre.

« F : Je te remercie (nom)... Au nom de tous mes amis et de moi-même...

Toi : Tu n'as pas à me remercier Francis. C'est ce que font les amis. » Il rit un peu, et ferma les yeux.

« F : Puis-je t'embrasser, (nom) ? »

Choix 1.1 : Oui

Choix 1.2 : Non

Vos choix détermineront votre destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant