Choix 1.3.2.1 : Choix 1.1.1 de gauche : Tu l'abandonnes

3 0 0
                                    


Tu décides alors de l'abandonner. Tu cherches quelque chose qui va te permettre d'ouvrir la porte ou au moins une fenêtre. Sur la ceinture du gardien, tu aperçois un trousseau de clefs. Tu ne pus empêcher un petit cri de victoire et tu les lui pris. Puis, tu partis en courant essayer de ce pas les clefs. La porte d'entrée ne comportait pas de serrures, elles étaient automatiques. Tu partis alors à la salle des employés, là-bas il y aura peut-être une commande qui te permettra d'ouvrir les portes.

Une fois là-bas, tu ouvris la porte après avoir cherché la clef. Elle s'ouvrit dans un bruit assourdissant. Et tu entras, refermant la porte derrière toi, au cas où. Tu allumas la lampe torche de ton téléphone et tu regardas ce qu'il se trouvait ici. Là, tu vis que tout était détruit dans cette salle. Et que tout était recouvert de poussière. Tu trouvas un papier sur le sol. Et tu le lus.

« Si quelqu'un lis cela, c'est que je suis mort. Je m'appelle Kuro Akura. Et j'ai assissté au violent meurtre de 6 enfants. Alfred F. Jones, Francis Bonnefoy, Arthur Kirkland, Gilbert Beilschmidt, Ivan Braginski et Antonio Fernández Carriedo. Ces pauvres enfants étaient là pour l'anniversaire du plus jeune, Alfred. Et ils ont été violemment assassinés à coup de poignards par un phsycopathe. Son nom est Jonathan Purple. Le propriétaire du restaurant « hetalia's pizza ». Si vous trouvez cette lettre, amenez-la à la police. Et ne la remettez à personne d'autres. Dites-leur que vous venez pour le dossier « Massacrerouge ». Ils ne pourront que comprendre et vous prendront tout de suite. Ensuite, montrez leur cette lettre. Ils seront obligés de considérer cela comme un témoignage. Sinon, ils entraveront la justice. Si vous avez d'autres preuves, n'hésitez pas à le leur donner. Tout fera l'affaire. Je veux juste que vous vengiez ces enfants, comme j'aurais voulu les venger.

Sur ce, je vous souhaite bonne chance. Et espère vraiment que vous les sauverez et que cette lettre arrivera un jour entre les mains de la police, avant que cette ordure ne meure libre.

Kuro Akura » Tu le connaissais, tu avais déjà vu un article du journal quand tu fouillais les vieilles affaires de tes parents. Kuro Akura était un jeune policier qui avait résolu beaucoup d'affaires. Il avait dû vouloir arrêter ce massacre, mais aurait été déjoué d'une façon ou d'une autre. Il aurait donc écrit cela avant de mourir, assassiné lui aussi. Tu pris cette lettre en photo et la rangea dans ta poche. Tu te levas et cherchas à nouveau le levier. Là, tu entendis des pas devant la porte. Tu paniquais et n'osais plus respirer, tu étais paralysé. Tu sentis quelqu'un te tirer le bras sous le bureau. Et tu fus surpris(e) de n'avoir fait aucun bruit. La porte s'ouvrit alors dans un grand bruit. Et quelqu'un entra. Il fouilla un peu partout, avant d'abandonner. Il ne t'avait pas vu semblait-il... Pourtant, il était venu voir sous le bureau et ne t'avais pas remarqué. Il partit, sans plus de cérémonie et referma la porte à clef. Tu attendis quelques instants que les pas se fassent lointain, puis tu ressortis de ta cachette. Tu regardas alors qui avait bien pu te tirer. Et tu vis le jeune policier, Kuro Akura, devant toi, les bras croisés. Ses cheveux étaient d'un beau noir corbeau. Il avait deux orbes roses magnifiques. Il te regarda et te pointa une planche de bois. Tu la regardas et allas la déplacer. Là, tu y trouvas des documents, accusant tous le propriétaire du restaurant de toute sorte de crimes. Et enfin, tu trouvas un journal. Dans lequel Jonathan Purple déclarait tous ses méfaits avec une joie non dissimulée. Tu regardas le fantôme, surpris(e), puis tu lui adressas un sourire victorieux. Il eut un sourire en coin, sachant pertinemment que ce type allait enfin payer après 20 ans. Il te pointa alors la porte de la salle des employés, et te fis signe de te dépêcher. Tu hochais la tête, lui promettant de le venger, comme les enfants. Kuro t'adressa alors un sourire reconnaissant et te remontra la porte. Tu hochais à nouveau la tête et tu pris les clefs, puis tu l'ouvris. Tu partis alors en courant aussi vite que tu le pus jusqu'aux portes. Devant toi, le patron. Tu fus pris d'une soudaine rage et tu le poussa violemment. Il tomba sur le sol, sa tête le heurtant. Il fut assommé.

Choix 1.3.2.1 :Choix 1.1.1.1 : Tu l'attaches

Choix 1.3.2.1 :Choix 1.1.1.2 : Tu le laisses comme ça, ça ne changera rien.

Vos choix détermineront votre destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant