Vos choix détermineront votre destin

Choix 1.3.2.2.1.2 : Tu as décidé de partir

Tu as décidé de partir, trouvant cela trop risqué de rester ici plus longtemps. Tu sortis alors de la pièce et partis en quête d'un endroit où tu pourrais peut-être te cacher. 

Alors que tu passais devant une porte en fer, celle-ci s'ouvrit devant toi. Tu regardas et vis alors que c'était la salle des employés. Tu décidas d'y entrer et de voir si tu pouvais rester ici. La porte se referma, t'enfermant dans la pièce. 

Tu essayas de l'ouvrir, en vain. Qu'allait-il t'arriver ? Tu étais enfermé(e) ! Pour combien de temps ? Vu l'état de la salle, personne n'y avait remis les pieds depuis des lustres. Tu cherchas une sortie. En vain. Là, tu vis une lueur. 

Tu t'approchas et vis l'âme du jeune policier, Kuro Akura, devant toi, les bras croisés. Ses cheveux étaient d'un beau noir corbeau. Il avait deux orbes roses magnifiques. Il te regarda et te pointa une planche de bois. Tu la regardas et allas la déplacer. Là, tu y trouvas des documents, accusant tous le propriétaire du restaurant de toute sorte de crimes. Et enfin, tu trouvas un journal. Dans lequel Jonathan Purple déclarait tous ses méfaits avec une joie non dissimulée. 

Tu regardas le fantôme, surpris(e), puis tu lui adressas un sourire victorieux. Il eut un sourire en coin, sachant pertinemment que ce type allait enfin payer après 20 ans. Il te pointa alors la porte de la salle des employés, et te fis signe de te dépêcher. Tu hochais la tête, lui promettant de le venger, comme les enfants. Kuro t'adressa alors un sourire reconnaissant et te remontra la porte. Tu hochais à nouveau la tête et tu pris les clefs, puis tu l'ouvris. 

 Tu partis alors en courant aussi vite que tu le pus jusqu'aux portes. Tu regardais l'heure et vis qu'il était 6h. Tu sortis alors de cet enfer et courus au commissariat le plus proche. Là-bas, tu leur donnas la boîte qui contenait toute les preuves, ainsi que celle que Kuro t'avais permis de trouver dans la salle des employés. Les policiers furent pris d'une sourde colère en lisant le journal de l'homme, et ils partirent tous, furieux. 

Tu les suivis, curieux/curieuse de découvrir la tête qu'il allait faire. Lorsque tu arrivas, ils venaient de l'arrêter. Il hurlait au scandale et il était horriblement moche. Tu ne pus t'empêcher de sourire devant le spectacle qui se déroulait devant tes yeux. Tu regardas ensuite devant toi et tu vis les robots te regarder. 

Tu reculas d'un pas, puis tu vis les âmes des enfants en sortir. Ils te regardèrent, et te sourirent. Ils coururent vers toi et te serrèrent dans les petits bras. Tu leur souris en retour, et tu leur souhaitas un bon voyage. Et ils partirent. 

Tu vis alors l'âme du policier. Il te sourit, d'un sourire charmant. Il était libre, lui aussi. Et il était heureux pour les enfants. Il te salua d'un signe de la main, et partit. Tu vis alors une autre âme s'en aller, mais tu ne sus jamais qui c'était.

Bonne fin