Après cette rencontre MAODO et LAILA décidèrent de se voir le soir au Jardin ...« Tu peux dire au vent d'arrêter de souffler, aux torrents d'arrêter de couler mais ne dit pas à mon cœur d'arrêter de t'aimer car je t'aime et je t'aimerai et ce jusqu'à la fin !! »
Maodo avait le regard orienté vers l'entrée du jardin. Il était figé comme un chat qui guette une souris. Que regardait-il ?
Une silhouette gracieuse s'encastra devant la porte du jardin. D'une démarche de déesse, la silhouette se dirigea vers lui.MAODO: Stop !
LAILA : Quoi ?
MAODO : Pivote sur toi-même et marche doucement vers moi.LAILA fit une rotation sur elle-même tout en posant ses mains sur ses hanches, puis lentement, elle se dirigea vers son homme. Elle lui fit une bise sur les deux joues puis l'embrassa tendrement sur la bouche.
LAILA: Pourquoi voulais tu que je m'arrête et de pivoter autour de moi-même ?
MAODO: Parce que quand tu marche tu es comme une gazelle qui gambade dans un champ de rose. Tu es aussi gracieuse qu' un oiseau du paradis dans le jardin d'éden.
LAILA : C'est tu que de la tête aux pieds, tout mon corps t'appartient. Est-ce que tu m'aimes Maodo?
MAODO : Autant me demander s'il existe bien un soleil qui brille sur ce système solaire.
LAILA: Répond moi . Je veux t'entendre dire que tu m'aimes.
MAODO : Autant me demander s'il existe bien une lune qui gravite autour de cette terre. Oui ma déesse je t'aime.
LAILA: "Doyalouma" Ça me suffit pas. Je veux te l'entendre dire encore une fois
MAODO: Je t'aime en autant de fois que le ciel compte d'étoiles. A ton tour, m'aimes-tu ?LAILA dévoila l'intérieur de sa cuisse et demanda à Maodo de regarder. Il vit que LAILA s'était fait tatouer son nom" Maodo "sur sa cuisse.
LAILA: Tu vois je t'ai dans la peau. Tu m'accompagne partout. Je t'aime infiniment.
Maodo borda LAILA et l'embrassa tendrement au coup. Elle roucoula de plaisir.
LAILA : Je veux que me tu me raconte une histoire, un conte
MAODO : Je ne suis pas doué en conte
LAILA : S'il te plait...
MAODO: D'accord. Je vais te raconter un très beau conte mais à une condition
LAILA: Quelle est cette condition ?
MAODO : Je veux entendre de ta bouche un poème, un poème d'amour.
LAILA: Je ne suis pas fort avec les poèmes mais je vais faire de mon mieux écoute attentivement alors:
Je suis vraiment amoureuse,
D'un homme qui me rend heureuse.
Je l'aime de tout mon cœur,
Car c'est l'être le meilleur...
Un homme qui me comprend,
Un être charmant...
Je lui dédis ce poème,
Pour lui montrer que je l'aime,
Que je suis bien avec lui,
Et je vis ma vie...
Un être rare et cher,
Quelqu'un d'extraordinaire...
Je souhaite être la femme
Qui ravive la flamme
De son cœur si pure...
Que notre histoire dure...MAODO : Waowe ! C'est beau ! Tes yeux sont comme des îles perdues, c'est dans leur océan que je me baigne, et c'est ici que je me noie d'amour pour toi.
LAILA : A ton tour, vas-y. Raconte moi un conte.
MAODO : Finalement je refuse de te raconter ce conte parce que j'ai soif
LAILA : Je vais te chercher un verre d'eau. Attends-moiElle parti a l'intérieur de la maison puis ramena un verre d'eau qu'elle tendit à Maodo. Ce dernier d'un regard malicieux, déclara :
Maodo : Qui t'a dis que j'avais soif d'eau ?
LAILA : Mais c'est toi qui m'as dit tout à l'heure que tu avais soif
MAODO: Effectivement. Mais c'est de l'amour donc j'ai soif et non d'eau
LAILA : Arrête de te payer ma tête Bv!
MAODO : Veux tu étancher ma soif oui ou non!
LAILA : Bien sûr mais comment ?
MAODO: Viens ici. Embrasse-moi. Par le biais de tes lèvres, j'étancherai ma soif...Ils se roulèrent sur le gazon du jardin tout en s'embrassant.
Une heure plus tard, LAILA rentra chez elle. Maodo en profita pour se rendre à la plage. Il avait l'habitude de s'assoir au somment d'une falaise afin de méditer. La vue du vaste océan lui permettait de s'éclaircir les idées. Au moment où il montait sur la falaise, il aperçut deux silhouettes entrain de gesticuler. Il écouta attentivement et constata que les bruits qu'il entendait étaient des voix féminines. Il en fut surpris. D'habitude, personne ne venait à cet endroit sauf lui. Bien sur ses quatre amis connaissait l'endroit et Rama.
Lorsqu'il s'approcha, il salua les deux silhouettes :MAODO : Bonsoir mesdames ou mesdemoiselles
-Bonsoir Maodo , comment vas-tu ? Je te présente Awa ma cousine.
MAODO: AIDINA et Awa ! Mais que faites-vous ici ?
AIDINA: Apparemment tu es surpris de nous trouver ici!
MAODO :Bien sur que je suis surpris parce que je ne vous ai jamais vu ici et d'ailleurs comment ça se fait que vous êtes cousines?
AIDINA: C'est que heu...Ma cousine Awa ne se sentait pas bien. Alors je lui ai proposé une petite balade sur cette falaise afin de l'aider à se sentir bien
MAODO: Qu'est ce que tu as Awa ?Pour toute réponse, AIDINA éclata en sanglot. MAODO en fut désemparé. Il ne savait comment réagir.
Alors Fanta se leva et s'approcha d'Maodo pour lui murmurer à l'oreille :
- Elle a besoin d'être consolée.AIDINA : Assis-toi auprès d'elle et soulage sa douleur.
Maodo: Mais...
AIDINA : Maodo toi aussi tu laisserais tomber une femme en détresse sans lui venir en aide ?
MAODO : C'est que heu...
AIDINA : Non ne te défile pas, vas y. Parles lui et surtout sois affectueux envers elle...Maodo se dirigea alors vers Awa et s'assoit à coté d'elle. A peine qu'il s'est assis que Awa posa sa tête contre sa poitrine tout en pleurant. Maodo en fut gêné. Il ne savait plus quel comportement adopter. Il demanda timidement :
MAODO :Qu'y a-t-il Awa?
Pour toute réponse, Awa pleura de plus belle tout en entoura de ses bras le coup d'Maodo.
Maodo : Awa dit moi ce qui te peine autant ?
Awa : J'ai de la peine pour tous ces orphelins qui souffrent sans aucune assistance
MAODO : Je comprends ta peine cependant tu es une femme courageuse parce que tu commence déjà à mobiliser des fonds pour ces enfants.
AWA : Oui mais ce n'est pas suffisant. Que peut faire une seule femme ? Si au moins j'avais à coté de moi un homme qui m'épaulerai...
MAODO : Awa saches que tu pourras toujours compter sur moi
AWA : Merci Maodo serre moi fort dans tes bras. Mon cœur est si lourd...Maodo était déboussolé, il ne savait plus comment réagir. Il commençait à éprouver de la compassion envers Awa.
Discrètement, AIDINA arbora un large sourire tout en sortant son téléphone portable pour prendre une photo...Je vous invite à ne surtout pas ratée l'épisode suivant .
Des moments de folies vont y passer.PS: Veuillez notée l'épisode s'il vous plaît et suis ouvert aux critiques .
Je vous remercie.
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LE DÉSIRE DE L'AMOUR ET DE LA TRAHISON
RomanceCette histoire est vraiment indomptable. Si vous êtes fans des chroniques " amoureux , amitiés, trahison..." je vous invite à lire pour vous divertir... Vous ne regretterez pas d'être passé. Stp notez la après