HATE YOU, tome 1 - Newtmas

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Merci pour les 2k !!! <3

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Il y a un peu de lemon dans ce chapitre donc si jamais tu es trop jeune (on ne sait jamais) j'ai fait un chapitre 20 où il n'y en a pas, spécialement pour toi !

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Newt hocha la tête. Il embrassa Thomas une dernière fois et entra.

Qu'est-ce que c'était bon de le retrouver. Newt avait passé deux mois sans lui, deux mois sans voir son visage, sans entendre sa voix. Et c'était beaucoup trop.
Il posa son gilet sur le canapé.

— Thomas ?

Le brun se retourna. Il avait les yeux rougis par les larmes et des gouttes d'eau salé perlaient sur ses longs cils bruns. Newt aurait tout donné pour voir son doux visage toute sa vie. Tout.
Les lèvres pulpeuses et rosées de Thomas s'entrouvrirent pour laisser sortir quelques mots de sa bouche. Puis des larmes coulèrent à nouveau. Le cœur de blond se serra.

— Ta voix ma manquée, Newt. Tu m'as tellement manqué. Il marqua une pause et essuya ses larmes d'un geste hésitant. T-tu n'as pas idée de la longueur des journées sans toi. De la vie, ce qu'est le mot «vivre» sans toi.

Newt s'avança les yeux remplis de larmes. Si il s'en rendait compte. Il savait très bien ce que ça faisait. Et il n'aurait pas supporté de perdre Thomas. Il n'avait pas supporté la perte de Minho, mais si son brun venait à quitter ce monde... il n'osait même plus y penser.

— Je voulais que ta vie sois meilleure. Je ne voulais pas que tu périsses, pas comme moi.

Thomas se rapprocha.

— Newt...

Newt le prît dans ses bras, se réconfortant dans son cou. Il inspira et s'imprégna de l'odeur du brun. Il crispa ses doigts sur sa nuque et son dos.

— Je t'aime, Thomas. Je t'aime tellement.

Thomas regarda Newt avec un regard profond. Ce regard qu'il avait toujours eu.

— Je t'aime.

Ces deux mots étaient remplis de sincérités. Le blond ne pouvant se retenir colla ses lèvres à celles du brun. Il posait quelques baiser délicats sur les lèvres du garçon. Thomas s'appuya sur son grand canapé et déposa un baiser dans le cou de Newt, puis dans sa nuque.
Les mains de Thomas remontèrent sous son tee-shirt et le retirèrent. Newt fit de même et redressa Thomas à l'aide de sa main pour embrasser à nouveau ses lèvres. Newt passa sa langue sur les lèvres de Thomas et ce dernier laissa un accès à sa bouche au blond. Thomas titilla la langue de Newt avant de la rejoindre complément.

Newt croisa ses bras autour de la nuque du brun. Le brun colla son bassin à celui de Newt et posa ses mains sur les hanches du blond. Cela déclencha des frissons dans son dos. Il se décolla de Thomas pour reprendre son souffle.

— Tu veux qu'on réessaie ?

Newt fronça les sourcils. Il regarda son pantalon, puis celui de Thomas. Apparemment son envie était partagée. Pourtant leur dernière expérience c'était mal déroulée. Comme les quartes précédentes. Ils n'avaient jamais réussi à le faire, Thomas faisait des crises de paniques quand les choses devenaient trop sérieuse. Jess lui revenait en tête à ce moment précis.

— Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, Tommy.

— J-je crois que je suis prêt. Je crois que cette fois c'est bon.

Il étouffa un rire et déposa un baiser sur ses lèvres. Puis Newt reprit son sérieux. Il hocha la tête et prit place dans la canapé attirant Thomas contre lui.

— Très bien.

Thomas esquissa un sourire. Le brun inversa les rôles et se mit au dessus de Newt, laissant son bassin collé au sien. Il avait très envie de réitérer cette expérience, il voulait savoir ce que ça faisait de faire l'amour avec un garçon. Il voulait savoir ce que ça faisait avec Thomas. D'ailleurs le brun devait savoir que Newt en avait envie maintenant qu'il devait sentir la bosse qui c'était formée sous son pantalon.
Ce dernier se pencha, courbant son dos musclé et parsemé de grains de beauté, et déposa quelques baisers dans le cou de Newt. Il sentait la pression monter. Qu'est-ce qu'il aimait ça. Il enroula ses jambes autour de Thomas.

— T'es trop lent, Tommy.

Thomas embrassa son ventre jusqu'à arriver au jeans du blond qu'il déboutonna d'une façon qui rendait Newt accro. Il tira sur le jeans du blond et le jeta sur l'autre canapé.

— Retire le tiens, t'es sexy quand tu le fais.

Les deux garçons se mirent à rire. Thomas retira son jean et caressa avec sa main le caleçon du blond. Newt se raidit. Il ferma les yeux se tordant de plaisir.
Thomas tira sur l'élastique du morceau de tissu qui le séparait du sexe de Newt et le retira. Newt croisa les doigts, ils n'étaient jamais allés aussi loin.  Thomas déposa quelques baisers sur le bas ventre du garçon jusqu'à descendre sur son membre.

— T'as des préservatifs ? Demanda Thomas.

— Toi, t'en as ?

— Bouges pas.

Thomas se redressa et s'éloigna. Newt prit le temps de regarder la paire de fesses parfaites de son brun et regarda ensuite son penis. Thomas l'avait laissé dans un état quelques peu gênant. Il mourrait d'envie de finir ce qu'avait commencé le brun mais il se promit de patienter. Même si c'était très compliqué.

— C'est bon, mets le.

Newt ouvra la paquet et mît le préservatif.
Le brun accordait beaucoup d'importance en ce qui concernait les protections. La grossesse de Jess lui avait servit de leçon.
Et même si Newt était un homme, les maladies elles, étaient toujours les mêmes. Thomas déposa des baisers sur le sexe de Newt et l'inséra dans sa bouche. Il commença par des vas et vient plutôt lent mais il accéléra le mouvement. Newt tirait les cheveux de Thomas pour s'empêcher de gémir, il trouvait ça gênant.
Plein de désir, Newt donna un coup de bassin pour que Thomas accélère. Mais ce dernier releva la tête et commença à ralentir.

— T-tommy. Arriva il a souffler.

Ce dernier accéléra ses mouvements. Newt gémît ce qui fît rire Thomas. Finalement Newt ne trouvait plus ça tellement gênant. Sans s'y attendre Newt éjacula et se retira, soufflant un bon coup. Thomas se pencha vers lui et lui souffla à l'oreille :

— À mon tour, j'en peux plus d'attendre.

Ça avait été beaucoup plus rapide que Newt le pensait ! Il retira son préservatif, le ferma et le jeta à la poubelle.

— Dépêche toi, Newt !

Newt se pressa et plaqua Thomas sur le dos. Il lui retira son caleçon fougueusement et se rapprocha de Thomas. Il mordilla son lobe et embrassa le cou du brun.

— On va passé à l'étape supérieure, honey.

— Je suis tout à toi.

(Je suis désolée pour les fautes, je suis trop malade pour faire attention)