Crescendo

Chapitre 26:

Je me fais réveiller par le verrou de la porte. Je me redresse et vois l'homme de hier rentrer avec une mallette à la main. Je croit que je suis blanche comme un linge là maintenant.

Lui: Bonjour Julia ! Alors bien dormi ?

Je froncé les sourcils et m'assois.

Moi: Et vous ? Bien dormi après avoir torturer une petite fille de 5 ans ?

Il rigole puis me regarde dans les yeux.

Lui: Je suis d'accord, tu es une petite fille de 5 ans physiquement mais je crois que ta mentalité dépasse beaucoup ton âge. Tu as quand même tué des personnes de sang froid.

Je commence à avoir du mal à respirer mais j'essaie d'avoir un visage neutre.

Moi: Comment pouvez vous en être si sûr ? Qu'est ce qui vous prouve que je l'ai fais de sang froid ?

Lui: Pour ton père j'ai pas de preuve mais pour Jason j'ai une vidéo qui le prouve. Bon, amusons nous un peu ! Veux tu bien t'asseoir sur cette chaise ?

Je regarde la chaise et c'est pas une chaise comme les autres, je l'ai remarqué directement à mon entrée ici. Il y a des trucs pour attaché les mains et les chevilles. Je sort du lit et vais à l'exact opposé de la chaise. Quand il se retourne il fait un soupir de désespoirs

Lui: Julia... J'ai fermé la porte à clé et il n'y a pas d'armes ici. Tu n'as pas le choix ! De gré ou de force tu iras sur cette chaise. C'est pour ton bien !

Je sens une larme perlée sur ma joue et une nausée soudaine se fais sentir. Il le fait exprès. Il connaît mes points faibles.

Je fais non de la tête et sans m'en rendre compte, je retenais ma respiration. Il s'approche avec quelque chose dans son dos. Il sourit et me regarde avec un air de psychopathe.

Lui: Tu as 5 secondes pour t'installer sur cette chaise après j'empirai ce que je comptais te faire aujourd'hui. 1...2...

Je craque et vais sur cette chaise. J'ai trop peur de ce qu'il pourrait me faire. Il m'attache les mains sauf que c'est trop grand et il avait sûrement pas prévu sa. Je peux facilement enlever mes mains et mes chevilles. Du coup, il prends des cordes et m'attache finalement. Il sert trop fort ce qui me donne envie de vomir.

Il retourne vers sa mallette et sort un fin couteau qui à l'air de bien tranché. Je commence à respirer plus vite et je sens mon cœur aller plus vite.

Lui: Tu te souviens de Jason ?

Je froncé les sourcils et hoche la tête.

Lui: Si je te disais que c'était ton père biologique, tu ferais quoi ?

Moi: C'est pas vrai.

Lui: J'ai un document officiel qui le prouve.

Il se retourne pour prendre un papier et me montre un test de paternité. Il y a le nom et prénom de Jason et le miens. Des larmes coulent sur mes joues et j'ai du mal à respirer

Moi: Il m'a abandonné à l'orphelinat quand j'étais bébé

Lui : Tu sais très bien que non...

Moi: Julien m'a dit qu'il m'avait manipuler. Que il a tué Maxime...

Lui: Mais Julien n'était pas obligé de te dire la vérité. Peut être que c'est lui qui t'a manipuler. Tu te souviens quand ils t'ont torturé ?

En disant sa il passe le couteau sur mon bras et fais une coupure le long de mon avant bras et je cris et pleure.

Lui: Tu croyais que ils t'aimait toujours sauf que ce sont des monstres. Tout comme toi. Tu as tué ton propre père, ton sang, ta famille.