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Point de vue Arron:

Charleene à donc vécu un accident, un éloignement avec toutes ses amies et un changement de vie en seulement trois ans. Je n en reviens pas. Elle s est ouverte à moi et étrangement j ai envie de lui dire ce que j ai vécu aussi. Je ne l ai dit à personne. Seul mes parents savent la vérité. Peut être aussi que Max et Jack se doutent de quelque chose mais je ne leurs est jamais dis clairement. Je prend donc mon courage à deux mains et me lance.

- Mon père battait ma mère. Depuis toujours. Il pensait que je ne le savais pas, mais enfaite je le savais. Je le voyais de mes propres yeux. Sauf que j était trop petit. Et à l age de quinze ans je me suis comme qui dirais, rebeller.

Flashback:

J entend encore le monstre qui me sert de père frapper ma mère. Ma porte est fermé et ils sont en bas mais je les entend. Je me regarde dans mon miroir. Encore et encore. Je suis beaucoup plus musclé qu' avant. J ai grandi. Beaucoup. Je suis même plus grand que mon père. Et je sais me battre. Je l ai appris avec des amis. Je me regarde encore une fois à travers le miroir. Je suis enfin prêt. Je vais pouvoir venger ma mère.

Je descend donc, seulement armé de mes poings. Je respire un bon coup avant de descendre les escaliers. Je n ai qu' une chance. Je n en aurais pas deux. Je ne peux pas la louper.

J entend mes pas grincer en même temps que je descends les marches. Je ferme les yeux une dernière fois avant de les ouvrir déterminer à combattre l homme qui maltraite ma mère. Aucune femme n a le droit à ce traitement. Même la pire des femmes. Alors ma mère n en a vraiment pas le droit.

Je m avance jusqu a lui et le frappe dans le dos. Surpris, il arrête ce qu' il été entrain de faire et fait demi tour pour ce mettre face à moi.

Ma mère hurle de partir mais je ne bouge pas d un poils. Mon père s énerve et commence à jeter ses poings sur moi.

J arrive a les éviter mais ne vois pas le dernier coups que je me prend en plein dans la mâchoire. Je me tiens l endroit où il a cogner avant de cracher et de lui rendre ses coups.

Ils se les prends tous mais ne semble pas avoir mal. Je profite de son intention pour détacher ma mère de la chaise. Mais elle ne bouge pas. Comme si elle était toujours coincé. Je retourne sur mon pere et le frappe comme me l'a appris à faire mes amis.

Je suis face à ma mère et mon père est dos à elle. Je la vois prendre le téléphone et appeler quelqu' un. Puis elle court s assoir comme si de rien n était et me souris. Elle saigne d un peu partout mais elle souris. Alors je lui souris aussi. Ce qui ne plut pas vraiment à mon père puisqu il me donne des coups beaucoup plus violent.

Puis au bout de quelques temps j entend des bruits de sirène. Celles des policiers. Je souris encore face à mon père qui lui n entend rien, trop concentré à me frapper avec force. Puis les policier fracassent  la porte et encerclent mon père. Il essaye de se débattre mais fini par être embarquer.

Fin du flashback.

- Ma mère et moi ont été emmener à l hôpital et mon père est toujours en prison à l heure qu' il est.

Elle me serre un peu plus dans ses bras puis me demande d une voix douce.

- Et comment va ta mère?

- Très bien, elle travaille beaucoup mais je la voie souvent.

- Et est ce que tu vis ici avec ta mère?

- Non, elle m a acheter une maison près de l université. Elle elle vit aussi dans un nouvel appartement. On a vendu mon ancienne maison.

Elle hoche la tête et se ressert contre moi. Nous restons longtemps comme ça à essayer de se concentré sur le présent en essayant de ne plus penser à notre passé à tout les deux.

Je lui propose après quelques instants de regarder un film. Elle saute alors du lit et crie un oui enthousiasme. Je souris alors et lui propose des films.

Sauf que madame la chiante est de retour. Tout les films que je lui propose elle ne veut pas les voir. Je soupire donc et continue de lui citer des films. Avec un peu de chance elle finira bien par dire oui. Enfin j espère.

En effet, elle s arrête de dire non pour remplacer par un oui. Enfin. Par contre elle s est arrêtée sur un film d horreur. Alors soit elle aime vraiment bien soit elle ne sais pas à quoi s attendre.

Elle me certifie qu' elle adore les films d horreur. Je ne dis rien et lance le film. En effet elle ne dis rien les dix première minutes.

Puis elle crie et se rapproche de moi. Qu est ce que j avais dis? Je savais qu' elle aurai peur. C était évident. Mais bon je ne dis rien et la serre simplement dans mes bras pendant tout le film.

Quand le film se termine je coupe la télévision.

- Bon tu avais raison. Je ne suis pas faite pour ce genre de film. Est ce que tu peux pas mettre un film humoristique s il te plaiiiit?

Je souris et trouve ce qu' il lui faut. En effet, elle préfère ca car tout le long du film, elle ne fait que rigoler au blagues  des acteurs.

Le film n est pas le meilleurs du monde mais il est vraiment drôle alors moi aussi je rigole parfois. Bon écouter au moins on passe un bon moment. Ce qui est vraiment cool. Et oui après des discutions sérieuse et un film d horreur, rien de mieux qu' un film humoristique.

Nous enchaînons donc plusieurs films comme ça jusqu a que l on s endorme dans les bras l un de l autre avec la télévision en bruit de fond.

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Salut! Alors je voulais juste vous prévenir que c est bientôt la fin de "détruire l ennemie", et oui! Voilà il ne reste qu' un chapitre et l épilogue puis c est fini. J espere que vous n etes pas trop triste et bonne lecture!

Détruire l'ennemie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant