Chapitre 11- Pour l'éternité

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-Bon, déjà, le bal de fin d'années et dans une semaine, tu n'as qu'a l'invité.

-Je, je ne suis pas sure. 

-Allez, dans cette  époque les femmes peuvent aussi invité des hommes. 

-Je vais y réfléchir,promis. 

Une fois la conversation terminer, Rosalie partit et je me concentra sur un dessin que je sortit du tiroir de mon bureau. 

Soudain Carlisle toqua a ma porte qui était par ailleurs déjà ouverte et me donna une lettre, avant de repartir. 

Dans la lettre il y était inscrit seulement quelques mots, et elle n'était pas signé. 

La lettre du messager anonyme désigner la falaise, je pensa immédiatement a Peter, qui avait surement envie de me revoir. 

Quelques minutes plus tard je m'y renda et vit mon prince charmant assis les pieds dans le vide, je m'assis au même endroit. 

-Je, je voulais savoir si, tu voudrais venir au bal avec moi?

Venez-t-il de me devancer, je n'y croyait pas mais accepta, nous nous séparâmes, et je rentra en gardant ce secret pour moi, j'étais parti en secret, je rentrais donc secrètement par la baie vitrée de ma chambre. Je m'asseyais sur mon lit, continua mon dessin.

Le week-end se passa plutôt normalement malgré que l'idée d'aller au bal avec lui me trotter en tête, il fallait encore que je me trouve une robe, en adéquation avec le thème: " Année 50", très  simple, j'ai vécu cette époque, donc je n'aurais aucune difficulté à juste m'habiller, me coiffer et me maquiller comme avant...

Je n'aimais pas parler de mes sentiments, je n'aimais pas parler de ce que je ressens, ni de ce que je pense. Je ne trahissais jamais mes émotions, mon visage était toujours fermé, sans émotions, du moins seulement quand je ne faisait pas semblant d'afficher une quelconque émotions.  Je susurra  à Rosalie mon aventure. 

Cette semaine au lycée fut la plus longue de toute, je pensais sans cesse à lui, j'étais différente, différente dans ma manière d'agir, de penser, mais dans seulement deux heures, cela aller être pire...

J'enfila une robe évasée du style années 50, je me fis une des fameuse coupes de cheveux que toutes les femmes portaient, puis je me maquilla comme telle. 


Soudain la sonnette retentit et je m'y précipita aussi vite qu'il ne faut de temps pour le dire. Il était la, devant la porte sa belle voiture garée derrière lui, il m'y accompagna puis il m'ouvrit la porte. Je vis les autres partir juste après moi et tous semblaient amoureux. Je fis Carlisle et Esmée m'observaient.

Dans la voiture, l'ambiance était très tendu, nous ne savions pas quelle sujet aborder, donc nous ne parlions que par de simple phrase, composé de seulement trois à quatres mots. 

Soudain, un des mots ressortait et me fit sursautais:

-Merci, merci de m'avoir accompagné. 

-Hum, de rien je suppose, mais ça me fait plaisir. 

Nous venions d'arriver, j'avais comme l'impression que notre conversation n'était pas fini. 

Tout le monde nous regardait, ce qui était dans un sens plaisait. Mais j'avais l'impression d'être seul avec lui, d'être perdu entre le temps et l'espace, plus aucunes personnes à part lui et moi, nous étions deux, ensemble, peut être pour l'éternité...

On pouvais entendre la musique qui résonnait et faisait tremblait le sol, des voitures arrivait, des dizaines de personnes aussi bien habiller les uns comme les autres, tous accompagné par un ou une partenaire. 

Dans cette fête, rien d'exceptionnel, un bal de fin d'années... Malgré ça je continuais de m'efforçais de me souvenir qu'il était là, avec moi, il partageait ça avec moi. 

Soudain, nous prîmes un fameux gobelet rouge typique américain pour finalement aller s'isoler dehors. 

A l'extérieur, une terrasse immense couvrait un bout du sol, le paysage était magnifique, des arbres recouvrait l'horizon à des centaines me mètres au alentours. Nous nous éloignâmes sur un des nombreux bancs qui était plus loin, est visiblement Peter attendez d'être éloignez de l'épaisse foule pour pouvoir essayez d'en placez une. 

Nous nous asseyâmes, puis nous prîmes une ou deux gorgées de notre boisson, pour paraître plus humain.

Soudain, il me regarda pendant de longues minutes, sans prononcer un mot. 

Puis soudain: 

-Je, je, comment te dire, je n'ai jamais eu à faire ça... Ecoute, Mia, je ne peux plus me passer de toi, je, je t'aime... 

Quoi?! Venez t-il de me déclarer sa flammes, puis soudain, tel un film américain, nous nous embrassâmes sous les regards méfiant de Rosalie qui arborait son sourire habituel et victorieux. 



---------------------------------------------------------------------------------Hey! Merci à tous pour vos presque 500 lectures!Le rythme de publication risque d'être plus long car ma rentré approche de plus en plus... Bref mercii encore et à bientôt 


La nouvelle Cullen~ TwilightOù les histoires vivent. Découvrez maintenant