La nouvelle Cullen~ Twilight

Chapitre 8- Discussion et partie de chasse.

Bella discutait toujours avec le loup qui lui servait d'ami, tandis qu'Edward observait la scène avec mépris, je le rejoignais tout en pensant à la manière dont je devais lui parler, Edward n'avait pas l'air comme les autres, lui il était réticent à l'idée d'avoir quelqu'un d'autre dont il ne pouvait pas lire dans les pensées. Cela le surpris que j'aille vers lui. 

- Tout va bien? Le questionnais-je. 

-Oui? Pourquoi cela n'a pas l'air d'aller? 

- Tu n'aimes pas tellement ce Jacob? 

Il hocha la tête en guise de réponse et il continua sa scrupuleuse observation de la pièce et tout particulièrement des actions de Bella et de Jacob. Je décida de lui porter compagnie en observant avec précaution la pièce. Chaque objet avait sa propre place, et toute la pièce était étrangement brillante, signe de prôpreter extrême. La pièce paraissait étrangement calme, lumineuse, douce, charmante mais agitée à la fois, cette pièce n'est jamais vide. Une douce lumière éclairait légèrement, ce qui faisait briller de mille feux chaque personnes qui passer par la, sauf les deux humains qui parlait et riait de plus en plus fort, ce qui me perturba dans mes pensées et me fit quitter la pièce pour que finalement la soif m'appelle. 

-Alice, tu connais un bon coin pour chasser? 

-Oui, d'ailleurs, tu tombe bien, nous partons chasser ce soir avec Rosalie, tu veux venir? Me répondis Alice d'une gentillesse absolue.

-Si cela ne dérange pas... 

/Le soir même/

Nous venions d'arriver sur une sorte de plaine ou l'herbe s'étaler à des kilomètres à la ronde. Nous partîmes chacune de notre côté, dévorant quelques proient avant de rebrousser chemin pour finalement rentrer à l'aube. 

Je m'éclipsa directement pour me changer, je mit une robe toujours noire avec des fleurs colorées, et mettre à laver mon jeans et pull qui était presque recouvert de sang animal, je n'aimait pas chasser, donc je faisait mal le travail. 

Ici, le temps passait vite, peu être même trop, avant, le temps ma paraissait interminable, chaque seconde était ressentie comme une  heure. 

Quelques minutes seulement après avoir finie de me  préparer j'étais déjà dans la voiture, roulant presque à cent-soixante-dix kilomètres par heure, sur des petites routes sinueuse et glissante , un brouillard épais devant moi qui faisait que je ne voyer rien devant moi, cela n'aller même pas m'empêcher de prendre des risques.