👑 Amalia 👑 La Vie Ne Connait pas de Fin Heureuse.

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Are you sure ?
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- Mais viens on le commande sur Amazon.fr ?

Ocksen : *rire* T'es une sacrée folle toi ? 

- *rire* Une folle attachante on va dire.

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Chrys.

Je rigole nerveusement après avoir lu le message à haute voix. Message auquel j'ai pas répondu.

Je le ferai pas d'ailleurs.

- *rire* Je te l'avais dit que ça allait foirer...

Leïla : Mais non...

- Si !! *rire* Je sais pas à quoi je m'attendais en lui parlant de ça en fait. Franchement, je sais pas.

Leila : Bon... Commençons depuis le début. Dis moi qu'est-ce qui se passe entre vous.

Je souffle en me mettant debout.

- En gros, nos rapports étaient houleux on va dire...

Je lui explique en bref ce qui s'est passé depuis le début sous son regard compréhensif.

- Et donc là, j'arrête pas de penser à elle... Mais j'ai l'impression qu'elle s'en fou en fait.

Leïla : Au fond je la comprend tu sais. Vu comment tu te comporte Chrys, on devrait même te mettre des claques de temps en temps. *je rigole* T'as pas changé en fait. T'es toujours un gamin dans ta tête. Malgré ton âge, t'es toujours aussi immature. Pourquoi tu lui a pas parlé depuis le début ? Quoi, t'avais peur de sa réaction ?

-... Un peu oui.

Leïla : T'es un grand garçon maintenant Omri. Si elle te plait vraiment cette fille, essaye d'abord d'arranger les choses avec elle. Montre lui que tu n'es pas ce dont elle pense de toi parce que là je connais pas le garçon qui est en face de moi là. Ressaisis toi Chrys.

Je hoche la tête les yeux fermés et elle me fait un bisou sur le nez.

Leïla : Repose toi bien mon chéri...

- Bonne nuit mama.

Je reprend ma position initiale après qu'elle ait passé la porte, et j'essaie de trouver le sommeil, qui arrive assez rapidement, ce qui m'étonne.

Je devais vraiment être fatigué.

Amalia.

- *rire* Mais dors non ? *rire* Arrête ça chatouille !! Ocksen !

Il rigole en continuant ses bisous mouillés sur le haut de ma poitrine et dans mon cou.

Calmos Chicas. On n'est pas prêts de passer le cap de jambe en l'air.

C'est pas comme ça que ça marche.

Pas avec moi en tout cas.

Je caresse sa tête en passant mes doigts dans ses cheveux.

Ocksen : C'est tellement confortable ta poitrine.

- *rire* 01h35 minutes et toujours pas couchés. Ocksen tu vas pas assumer demain je te le dis moi. Dors et arrête avec tes bisous là.

Je le repousse pour éteindre la veilleuse à mon chevet et je nous couvre sous ses rires.

Il a insisté pour dormir ici parce que dit-il j'ai besoin de présence masculine chez moi.

Dit plutôt que tu peux te passer de moi.

Je me cale contre lui en enlaçant nos doigts et il caresse ma cuisse dénudée les yeux fermés.