Chapitre 6

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  Attention ! Partie indecente ,donc âme sensible .... Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez.

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 Pour la première fois depuis toujours , je pénétrai cet hôtel qui  faisait parti des plus fameux aux gonaïves. Mon coeur battait à cent mille a l'heure , alors que je le suivais sa main insérer dans la mienne. Avec la clef qu'on la supposément donné à la réception , il ouvrit la porte de la chambre numéro 302. Il ferma la porte après nous , et sans me retourner face à lui , je sentais déjà la tension montée. Tout de go , je sentis ses mains m'attraper brusquement , pour me mettre contre le mur . Ses yeux dangereusement sombre me transperçant , il monta doucement sa main contre mon cou , puis resserra douce et fermement sa poignée autour de celui-ci. je déglutissai difficilement. Il approcha ses lèvres contre ma joue ,l'effleura  , puis la lécha. Toujours sa main autour de mon cou , il se jeta sur mes lèvres avec fougue , comme s'il était en manque de drogue , comme si il en voulait plus , et encore , et encore. 

                   Après avoir fini d'avaler ma bouche. Il me tira vivement pour me jetai vers le lit. Il s'avanca ensuite vers moi , m'enleva, étonnement , délicatement la robe. Il resta un moment a contemplé mon corps.Et à ce moment ci , je me sentais importante , et belle. Son regard me faisait sentir que j'étais l'une des choses les plus belle qu'il ait vu . Il enleva son ceinturon de son pantalon et je le regardai rempli d'effroi. 

-ou pa bezwen pè , fem konfyans. me dit-il avec son sourire habituelle .

(Pas besoin d'avoir peur , fais moi confiance)

                                   Il approcha la ceinture de mes mais et d'une façon quelquonc les noua au lit.

                        -Ou te surement aji byen , men , pa gen moun ki parfe , fow gon punisyon.

(Je ne doute pas que tu as été sage , mais , personne n'est parfaite , tu mérites quand même qu'on te punisse.)

Les battements de mon coeur s'accélèrent de plus belle.

-Non sil vou ple , mwen pa fe anyen , pa fem anyen mal , sil vou ple.

(Non , pitié , j'ai rien fait , ne me faîtes pas de mal, pitié.)

Dans quoi je m'étais embarquée ? Est-il un psychopathe ou un narcissique? Qu'est ce qui m'était passée par la tête? C'est comme ça que j'allais mourir ? Nouer à un lit à moitié nue dans un hôtel avec un inconnu? Moi qui voulait sortir ma famille de la merde , me voilà à les enfoncer .

Un rire rauque sortit de sa gorge.

-Mwen telman renmen ti figiw kap sipliyem , li fem plis anvi koupew.

(j'aime tellement ton visage innocent, alerté , ça met mes hormones en feu)

Il plaça sa main autour de mon cou comme auparavant , puis sans me laisser le temps de protester , m'embrassa avec férocité , tordant nos langues comme s'ils étaient un, me laissant pas le temps pour respirer. Je sentis sa main glisser tout au  long de ma cuisse, la caressant avec tendresse, le touchant à peine, en veillant à l'effleurer me faisant frissonner .Puis, lentement, il commence à frotter les lèvres extérieures de mon intimité, le frôlant en me regardant droit dans les  yeux remarquant mon visage rougi, il sourit, puis continue à me frotter, plus je respire, plus il me frotte plus fort, me faisant de plus en plus mouiller par la seconde. Et sans douceur il enfonça trois doigts qui m'arrachèrent un cri . Son visage à deux centimètre du mien affichait un sourire satisfait , ses yeux contemplant ma bouche encore ouverte dû à la douleur. Sagement il fit des aller retour , les retournants à chaque fois en moi. Je m'agrippe vivement à ses épaules. Il me faisait passer rapidement de la douleur à la jouissance, à un point où je ne pouvais plus le supporter. J'étais trempée, je suis tellement excitée. " Pourquoi il me torture autant? Je veux qu'il touche mon clitoris. J'en ai besoin, j'ai besoin de lui, j'ai besoin de ses lèvres sur mon clitoris. et il le sait, il le sait si bien". Puis soudain il plongea ses lèvres sur mon clitoris, suçant, léchant, tordant sa langue tout autour de moi, tout en enfonçant ses doigts de plus en plus profondément en moi, me rendant folle. Tout le plaisir que j'avais accumulé en moi se répandait comme une folie. Je ne pouvais  m'empêcher de gémir, mes jambes tremblentes, je perdais la tête. "Oh mon Dieu vais-je ressentir  de l'extase?" Remarquant que je suis sur le point de jouir, il enfonce ses doigts de plus en plus en moi tout en léchant continuellement mon clitoris sans lui donner une seconde de repos. Une fraction de seconde plus tard, je tirai sa tête aussi fort que possible vers mon intimité jusqu'à ce que je perde tout contrôle sur mon corps. Tout mon plaisir se déversa, mon corps tremblant, frissonnant de plaisir. Je perds la tête, ma voix  perdue, mon intimité extrêmement sensible. Puis soudain, sans aucun avertissement, il tira mon corps vers lui."Non, non pas maintenant je suis vraiment trop sensible, je vais vraiment perde la tête !"

- Mwen pwal few touche setyem syel. Avant qu'il ne m'afflige une autre de ses violentes tape sur la fesse gauche.

(Je vais te faire connaître les profondeurs du 7ème ciel )

Il m'enleva , sa ceinture des mains , et appuyez sur l'un , il dirigea l'autre vers son intimité.

-Mwen vle pou w santi sam santi.

(Je veux que tu ressens le désir que tu me fais ressentir )

Ma main toucha son membre endurcis par le désir . Et comme si ses mots agissaient , mon désir redoubla. il me saisit soudainement les fesses, me faisant sentir que chacun de ses doigts le serre. puis, sans préavis, il me perça, pénétrant au plus profond de moi, me faisant haleter. À ce stade, mon corps perdit tout sens du contrôle. Ressentir du plaisir puis soudainement de la douleur, tout en voulant encore plus de lui, plus de son corps, plus de lui en moi. Il continuait à pousser lentement sa dureté en moi. me donnant une poussée lente mais profonde, soulevant sa résistance jusqu'à ce que seule la pointe reste à l'intérieur puis la replonge lentement dans le fond. Mon corps constamment entrain de jouir , jouir comme si c'était la seule chose possible à faire en ce moment. Sa dureté complètement trempée à commencer à me pénétrer de plus en plus fort tout en me donnant constamment de l'orgasme après orgasme, jusqu'à ce que finalement il m'attrape les fesses et commença à pousser aussi fort qu'il le pouvait, me faisant hurler à chaque fois que sa dureté atteint sa plus grande profondeur, s'assurant que mon intérieur prenne la forme de son intimité. Ce qui était tout à l'heure des hurlements devinrent des gémissements de jouissance qui l'incita à aller plus fond et encore plus fort . Après de nombreuses minutes il s'arrêta après qu'on ait atteint la limite de la jouissance ensemble. Doucement il s'affaissa sur le lit me ramenant avec lui. Toujours couché sur lui, il débuta à me caressai les seins , et je me mordis la lèvre.

-mwen te ka kontinye tout res jounen an ap fe sa. Dit-il en continuant ses mouvements circulaires.

(Je pourrais continuer toute la journée à te faire l'amour)

Il glissa sa main sur mon ventre à mon vagin.

-Kow, pow ap mankem.Affirme-t-il en caressant mon clitoris.

( Ton corps m'appelle , ta peau douce manque a ma bouche)

Je restai encore la bouche à demi ouverte" , encore , encore , encore ," me suppliait ma voix intérieure.

-Tout bon bagay gen fen yo. Conclu-t-il en retirant son doigt , me privant au passage de ma jouissance , pour le lacher completement en me perçant du regard.

(Mais comme toute bonne chose a une fin)
                   Conclut-il me laissant sur ma faim.
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Merci d'exister , j'espère que j'ai été à la hauteur de vos attentes.

Valeurs HaïtiennesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant