Chapitre 4

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Attention ! Partie indecente ,donc âme sensible .... Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez.

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Rien , meme pas un centime. Il n'a rien depense . Rien pour le lait de chaque jour , ni pour les couches neuves , encore moins pour des vêtements de bébé. Mais bien sur , des promesses il m'en faisait , tout le temps , tous les jours. Il me disait que les temps étaient difficile pour lui , que l'argent qu'il gagnait servait seulement à nourrir sa mère et à réparer sa voiture  , qu'il faisait de son mieux pour prendre soin de Germainson et moi. Je ne le croyais pas et je le repoussais de toute mes forces , mais pour une raison ou une autre il restait à quemander mon pardon et me suppliai de revenu. Je gardais la tête haute et refusais toute ses avances. Mes parents avaient raison , j'aurais dû le quitter bien avant. J'ai ete trop gentille de nomme mon fils de son nom. Germainson. J'ai été chanceuse d'avoir une famille qui m'ait pas jeté dehors et ont subvenu aux besoins de mon fils et les miennes. 

6 mois que ceci dure. 6 mois que je lui refuse la visite de son fils . 6 mois que j'étouffais tout sentiments éprouvés envers lui. C'était l'heure pour moi de tourner la page . Mais comme si l'univers avait comploter contre moi , Germain me tombait toujours dessus par hasard . Comme ce jour ou j'ai été cueillir quelques mangues près de la foret...

-Ou paka monte pye bwa a pito. se moqua t-il et me fit sursautai au son de sa voix. Je le toisai durement du regard et me reconcentrai sur la mangue a un niveau moyenne dans la branche du manguier.

(Tu devrais peut-être grimper l'arbre.)

-Mpat mandew aviw.

(Je n'avais pas non plus demande ton avis .)

-ou toujou ap pale avem di. dit-il en ramassant a son tour une pierre parterre. komsi ou te bliye tout sa nou travese ansanm yo , tout lanmou , tout ti jwet nou te konn fe yo. continua-t-il en lançant sa pierre qui décrocha la mangue du même coup.

(Tu me parles toujours aussi durement. Comme si tu avais oublie tout ce qu'on a traverse . Toute nos caresses , nos ebats sexuelles.)

Je serrai la pierre dans mon point n'essayant pas de me laisser traverser par les émotions. Idee stupide , comme si fermer les yeux et me serrai les points allaient effacer ce que j ressentait pour lui. Je rouvrai les yeux , et il était déjà face à moi , tellement près que j'arrêtai de respirer. Il ramena la mangue que je suppose qu'il venait de cueillir , a l'entre de nos visage. Il me prit la main droite , son toucher un courant me parcouru le corps , la retourna , et toujours son regard ancré dans le mien , il deposa la mangue dans ma paume. 

Je voulais protester , revendiquer , l'arreter. Or mes nerfs refusaient de transmettre le message a mes sens ou à mes membres. 

Plus son visage se rapprochait du mien , plus je me battais contre moi même. Et finalement , il avait obtenue la victoire en échouant ses lèvres contres les miennes . Comme si c'était une drogue que l'on m'avait interdit depuis des mois, automatiquement mes mains se placèrent derrière son coup pour bien mieux dévorer ses lèvres .

Ce qui me parcourait était indescriptible. Je pouvais sentir le sale bâtard sourire contre mes lèvres. Pourtant , j'enfouai bien loin ma raison dans un cachot sombre en moi et continuai mes mouvements sans hésiter. Il enleva mon chemisier a la hate et s'apprêtait à faire commentaire coquin a la vue de mes seins ,  j'emprisonai alors ses lèvres avec les miennes pour l'en empêcher. 

Ses mains parcouraient mon corps et la couchée au sol sous l'ombre du manguier je jouissais ces caresses. Me tortillant de plaisir sous lui , je sentais le désir , incommensurable de l'avoir en moi, me consummer. 

-mpaka tann anko. Me plaignis-je contre ses lèvres qui se relevèrent pour former un sourire sournois.

(je ne peux plus attendre)

-mpap few tann anko. Me repondit-il la voix pleine de promesse.

(Si tu insistes autant.)

Sans plus attendre il me pénétra d'un coup de reins , et c'était comme si j'avais passé 6 mois et demi en enfer et que j'étais à nouveau au paradis. Ses vas et viens me firents gemir de plaisir . Puis ensemble , nos hurlement formèrent une symphonie lorsqu'on atteignirent la limite du plaisir. 

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Je me redressai vivement comme une pique qu'on venait de planter , lorsque je realisai ce qui venait réellement de se passer. Je venais de faire l'amour avec Germain.  Quelle horreur ! comment avais-je pu succomber aussi facilement a la tentation , de plus , on ne c'était même pas protéger. 

-Saw genyen? me demanda-t-il en se redressant a son tour.

(qu'est-ce qui ne va pas)

Sans pouvoir me controler , ma main s'abattit sur sa joue l'infligeant une gifle phénoménale qui lui fit tourner la tête.

-Poukisa la?! S'enerva-t-il.

(C'était pourquoi ca ?)

-Pa janm vin pre ni mwen ni Germain. Lachai-je durement en me rabhillant a la va-vite.

(Ne t'approche plus jamais de moi ou de Germain)

Il me regarda confus. Il parut vouloir ajouter quelque chose mais je lui tournai le dos avant qu'il ne commence.

-Mkonnen w gen plen fanm , sak fe e mwen pouw kole nan boudam konsa , ou paka kitem anrepom?! Terminai-je toujours en coutinuant ma route.

(Je sais que tu sautes pleins de putes , pourquoi t'obstines-tu a me vouloir moi , tu pourrais pas me laisser tranquille?!)

Le silence regna apres mes paroles , mais pour une raison ou une autre , je savais que ça n'allait pas l'arrêter...


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Je m'excuse , c'est ma faute . J'ai non seulement souffert de l'épidémie de la page blanche ,j'ai aussi eu des difficultés a pouvoir meme taper , du a ma preparation pour l'universite , ou la confiscation de mon ordinateur portable qui me permettait plus facilement d'écrire. Alors encore une fois je m'excuse. 

Merci d'exister!!!!!!

Valeurs HaïtiennesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant