C'était elle, elle... ma Diane. En la voyant les larmes me montèrent au yeux, elle était vivante ! J'étais si heureux mais à la fois si surpris que j'en fus paralysé. Je la regardait s'éloigné sans que je puisse rien n'y faire.
-Cours lui après ! Cours lui après ! COURS LUI APRÈS !
Ces mots résonnaient dans ma tête sans que je ne puisse rien faire. Puis petit à petit ils finirent par me réveiller et mon corp se mit à agir tout seul. J'abandonnais tout ce que j'avais, je ne réfléchis plus, mon but était de la rattraper. A travers la foule je la cherchais, je tournais ma tête a droite, puis à gauche. LÀ ! Elle était en direction de la forêt.
Je la voyais s'enfoncer dans cette endroit que je connaissais pas, mais mes jambes avançèrent toute seul et je la poursuivit dans ce lieu inconnu. Même si je me perdais, même si je m'épuisais, même si j'étais a bout de souffle, je devais la rattraper ! Je ne voulais plus jamais, jamais la perdre.
Florent: fff... Di... Dia.... DIANE !!!
J'avais hurler son prénom si fort que j'entendis le cris de quelques oiseaux qui s'envolaient effrayé. Elle s'arrêta et se tourna vers moi, c'était ma chance. Je courus vers elle, et la pris dans mes bras.
Je la serrais aussi fort que je le pouvais, je voulais que chaque partie de son corp soit en contacte avec le mien... Elle était là, dans mes bras, c'était elle, elle.
Son corp frêle contre mon corp, sa chaleur, la douceur de sa peau, son parfum, tout cela étaient bien réelle. Je ne réfléchissait plus depuis un bon moment, ne pensais plus, aucun mot ne pus sortir de ma bouche. J'étais si heureux que j'en pleurais.
Ses mains parcourèrent mon corp jusqu'à ce que nous ne faisions plus qu'un. Elle me serrait elle aussi dans ses bras. Je pus entendre son cœur battre la chamade, elle me serra un peu plus fort comme si elle ne voulait plus me quitter. Je l'entendit respirer mon parfum comme elle avait autrefois l'habitude de le faire. Je me détacha doucement d'elle, et je pus de nouveau voir son doux visage, ce visage qui m'avait tant manqués, les larmes lui montèrent au yeux. Ma main contre la sienne, plus rien ne devait nous séparer.
Florent: je t'ai enfin retrouvé. Enfin...
Je m'approchais d'elle, et colla mon front contre le sien. Je voulais la sentir au plus près de moi, l'avoir au plus près de moi.
Florent: mon amour... il y a tant de chose que j'aimerais te dire.
Trop de temps était passé, trop de temps sans elle. Ses cheveux avaient beaucoup poussés et cela la ne faisait que la rendre encore plus belle. Je posais mes lèvres contre les siennes, ces lèvres que j'aimais tant, la douceur dans ce contacte, la chaleur de son souffle, tout cela étaient bel et bien réelle. Je l'embrassais encore et encore sans qu'elle ne me repousse. Ces baisers devenaient de plus en plus passionné sans que je ne puisse plus rien contrôlé. Je voulais l'embrasser, la caliner, lui faire l'amour, tout cela à la fois. Mais avant tout je voulais juste profiter de sa présence, du faite qu'elle soit en vie. Je me laissais emporté par mes désirs et mes envies. Elle et elle et encore elle !
Diane: F...
Elle ne réussie pas à finir sa phrase se perdant dans mon regard.
Diane: tu es...
Florent: chute...
Je ne voulait pas de mots juste sa présence. Nos lèvres, je ne voulais plus jamais qu'elles se séparent. À chaque baisers j'avais l'impression de revivre un peu plus ! Sans elle je n'étais plus rien, une ombre parmis tant d'autres, un corp sans vie.
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Je ne peux pas t'aimer
RomanceLa liberté un droit légitime, un droit que je rêve d'obtenir...mais a mon époque étant née noir, c'est un rêve irréalisable. Au yeux de tous je suis une esclave et rien d'autre, je n'ai n'y personnalité, ni penser, ni ressentis, rien...je ne suis ri...