Chapitre 25

267 22 2
                                    

Cela faisait maintenant 1 mois que le bateau avait quittés le port et la patiente de l'un comme de l'autre étaient a bout. Les questions se faisaient nombreuses mais les réponses presque absente. Et pourtant un jour ou tout semblait calme, ou l'ocean nous faisais par de ses bonnes grâce, l'homme chargé de la surveillance cria.

L'homme: TERRE EN VUE !!!

En face d'eux une île... était-ce ce pays tant désiré, ce lui qu'ils cherchaient depuis tant de temps ? Oui ! On put voir se dessiner sur le visage d'un homme un sourire que nul ne pourrait effacer. Car l'espoir une seconde fois naquit en lui tant il était heureux...

Jade: tu as 2 semaines ! 2 semaines pour la retrouver et après je repartirais.

Florent: je sais !

Répondis-je agacé par cette femme !

Victor: nous allons faire au plus vite Mademoiselle.

"C'est mon navire, c'est moi qui dirige !" disait-elle, et il était hors de question pour nous de dérobés a cette règle.

Pour passer inaperçu, Victor et moi nous faisons passer pour des nofragés. En plein milieu de la nuit nous embarquons tout deux sur le canot de sauvetage et ramons en direction de l'île. Après deux bonnes heures a nous fatiguer en ramant, nous finissons par arrivé sur l'île. A bout de forces nous nous laissons tomber au sol.

Le sable fin sous nos pieds, la Lune au dessus de nous. Tous inspiraient la tranquilité et le calme. Le ciel était magnifique, les étoiles brillaient de mille feux, la Lune quant à elle ne faisait que resplendir. Ce ciel me rappela la première fois ou je me rendis compte que la perdre m'était tout simplement inimaginable. Ce soir la nos lèvres se sont caresser sans s'embrasser, par malheur je dus résister... si je savais jamais je ne me serais éloigné d'elle.

Florent: dit Victor tu crois que l'on va la retrouver ?

Victor: et pourquoi on ne l'a retrouverait pas ?

Florent: je ne sais pas, j'ai juste peur de faire tout cela pour rien.

Victor: je ne crois pas qu'un homme aussi amoureux que vous puisse faire tout cela pour rien. Ne vous inquitez pas nous la retrouverons.

Après ces quelques mots, il s'endormit sur le sable. Le lendemain matin en ouvrant l'œil une "tribu" de gens plus exactement 3 femmes et 1 homme se trouvaient autour de nous. En voyant 2 des femmes je crus halluciner car elles se resselblaient comme deux gouttes d'eau mais il ne sagissait que de simples jumelle.

Homme: Oh, ils s'réveillent !

Jeune fille 1: le blondinet au yeux vert est pas mal.

Femme: Léani ne dit pas de bêtises !

Jeune fille 2: moi je préfère le p'tit brun.

Femme: je ne vous ai pas élever ainsi mes filles !

Homme: quoi qu'il en soit s'ont sûrement des n'fragé, alors nous d'vons les aider !

Florent: bonjour.

Jeune fille 1: oh il a une voix sensuel !

Femme: LÉANI !

La situation était plutôt cocasse, Victor fut pris d'un fous rire incontrôlable..

Jeune fille 2: oh que son rire est charmant !

Je ne peux pas t'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant