7.

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Un coup, un autre et encore un troisième.

De plus en plus de puissance, de plus en plus de rapidité, de plus en plus de plaisir, de plus en plus de chaleur.

Je n'en peux plus, j'adore, puis je déteste et le plaisir reviens et encore et encore plus grand, je ne peux résister, c'en est trop bon.

Il est en moi, il est sur moi.
Un mouvement et je fonds.
Il se retire, je souffre, il reviens, ça m'excites.
J'ai chaud, oui très chaud, de partout, mais quand il se relève, je gèles.
Ma sueur perle sur mon visage et partout ailleurs.

Sa main glisse sur mon dos. Du bas de mon dos jusque mes épaules, une douce caresse.
Elles reviennent sur le bas de mon dos.
Ses doigts s'enfoncent dans ma chair.
Sa puissance me pousse, me percute.

Il part et reviens encore. Tant d'extase me cambre encore plus et c'en est encore mieux.
Mon dos se creuse.

Il s'accélère, encore, et encore, reprenant de l'énergie à chaque allé et viens. Je ne sais si je peux résister. Je ne cris plus, je hurle, je pleure. La tête dans mes bras.

Il s'arrête, resort et frôle de la pointe de ses doigts là d'où il vient, un frisson d'excitation me traverse. C'est comme si du bout de ses doigts des petits courants me traversaient le vagin.

Il me pousse pour le mettre sur le dos.

L'anaconda frôle ma peau au niveau de mon intimité pour se poser sur mon bouton du plaisir, l'anaconda s'en va pour laisser place à un doigts; le pouce droit. Il le caresse d'abord légèrement de manière indécise, comme s'il attendait une sorte d'autorisation. Pour y répondre, j'écarte tout simplement les jambes en grand; j'aimerais en profiter avant de me réveiller et de me rendre compte que ce n'étais qu'un rêve. Son geste s'intensifie alors. Ses mouvements ses gestes cette aisance à manier mon bouton du plaisir ne peuvent que m'élever de plaisir. Au moment de redescendre, je ne peux qu'expulser du fluide soumise à tant d'excitation.

Il s'en va dans la salle de bain.

J'ai chaud, oh que j'ai chaud! Mais j'ai aussi froid. Non je ne suis pas malade, juste comblée.

Quand il reviens, il est encore dressé.

Sa puissance n'est pas encore achevée; il tapote là où il était, n'arrachant des cris encore de plus en plus aiguës de fantasy.
Les tapotements cessent. Des mains écartent mes jambes.

Il re-rentre, je le sens en moi, je la sens en moi. Toute neuve, toute fraîche, toute nouvelle, elle s'est changée. Elle bouge encore comme si elle venais à peine de commencer. « Oui!, oui!, ouiiiiii....! » je me lâche, mon vagin se mouille. Mon corps s'étire, je bombe la poitrine penchant la tête en arrière.

Il se penche sur moi en emportant avec lui mes chevilles et décides d'attraper mes seins. Il les attrape fort, les compresse, puis en entre un dans sa bouche. Sans stopper ses mouvements de bassins sensuellements rythmés. Son jeu de langue sur mon téton ajoute une pointe de douceur qui excite maintenant tout mon corps entier.

Les coups ralentissent, puis se stoppent.

Des bras me portent; sans se retirer, je me retrouve sur lui.
A moi de joué.
Je déboute tranquillement par de petits mouvements de bassin. On le sens, la partie n'est pas encore finie, le soldat est encore au garde à vue.

Il n'y avait rien de tel qu'un homme qui savait garder le rythme au point de combler sa partenaire durant tout le moment présent. Mais certains hommes ne profitaient de ce moment que tous seul.
Mais qui est l'homme avec qui le plaisir est réciproque?

Ca m'intrigue, il faut que je sache, il faut, il le faut....
Il faut que je vois ce visage en face de moi.
Qui est-ce?
A quoi ressemble-t-il?
Mais je ne vois rien, la pièce est complètement plongée dans le noir, on n'y voit même pas le bout de son nez.

Et le moment est venu d'accélérer le rythme. Je me baisse en posant les mains sur son torse et bouge mon derrière de haut en bas. De plus en plus vite je le bouge. On dirait dis que d'un coup je me mettais à twerker; mon postérieur claquait contre ses cuisses, il était devenu rebondissant. Que c'est bon, oh! que c'est bon pour moi comme pour lui. Mais je ne voyais pas du tout avec qui je partageais ce plaisir à l'entendre.

Ses petits gémissements qu'il essaye d'étouffer m'excitent encore plus, je me sens d'attaque pour lui en donner encore plus et m'accélérer à une vitesse.

«Oh ouiiiii!, oh oui oh oui oh oui !»

« Haa! » sort de sa bouche. Il se contracte ou plutôt se durcit. Je n'ai pas eue le temps de réaliser qu'il m'avait déjà attrapé.
Mon derrière entre ses mains se retrouve compressé, comme une balle anti stress entre ses doigts. Mon corps littéralement sur lui, il me soulève du bassin et décides de contrôler le rythme à son tour.

Toujours aussi brutal, c'est des coups de bassins que je reçoit. N'ayant pas pour but d'être doux avec moi, je sens ses allés et venus partirent de plus en plus profond découvrant de plus en plus mon vagin.

Il n'y a plus à dire, c'est le comble. Je suis en transe. Devant tant d'exploit. Cet enchaînement est carrément la cerise sur le gâteau, le point final. Je découvris un niveau d'excitation que je n'avais encore jamais ressenti même pas avec Gregory, l'un de mes meilleurs plans.

Et bien sûr je finis exténuée sur lui expulsant pour la énième fois du fluide. Elle, encore en moi, est contractée, se vide elle aussi.
Je m'allonge à côté de lui et l'embrasse.

«- Bonne année»

Je reconnaît cette voix. Oui. Elle m'a l'air familière...
On dirait....
On dirait étrangement... celle de...
Celle de John ?!

Me rendant compte que je venais de partager 20 bonnes minutes avec cet homme je rouvrit les yeux grands ouverts et ma vue s'éclaircit d'un coup.
Une lumière apparue au dessus du visage de John me souriant. Prise par surprise je tourna la tête sur le côté et me mis à crier du fonds de mes tripes.

Je me réveilla en criant comme dans mon rêve. Je lève la tête en explorant les alentours; c'est bien chez moi.

Ouf quel gros soulagement, quel rêve étrange, si réaliste, si excitant. J'en deviendrait presque rouge en y repensant. Je ne savais pas que mon esprit était capable d'autant d'imagination.

Je me prends un verre d'eau.

N'empêche que c'était d'un haut level.

Je retourne dans mon lit.

Je me glisse discrètement dans les draps pour ne pas le réveiller. Il se tourne quand même vers moi, m'embrasse, me caresse les cheveux d'une main et explore le temple du plaisir de l'autre. Ses baisers et ses caresses montent d'un level.

« t'en veux, hein ma belle? »

Je regarde l'homme; et merde il y a encore une lumière qui me montre le visage de John au dessus de moi. Et je tourne la tête et hurle de tous mes tripes.

Je me réveil en sursaut. Je regarde autour de moi - à droite, à gauche-; c'est bien chez moi. Je fouilles mon lit; personne.

-Orrh, Merde!

Je plonge dans mes coussins.

Dear Mr BlackOù les histoires vivent. Découvrez maintenant