Beau-frère ➸ j.kook

XV. De Ceux

Bonsooooooir ! <3

Ah c'est un plaisir de revenir ici et encore plus de poster enfin cette suite ! Comme toujours, j'espère sincèrement que ce chapitre vous plaira ! Je ne suis pas vraiment pas à l'aise avec les moments " chauds " alors j'espère que celui de la partie II ne sera pas trop foiré. Oui, je spoil un moment de la partie deux désolé mdr mais je préfère avertir au début si jamais il est... Pas tip top. :')

Juste avant de commencer quelques petites choses qu'il me semble importer de préciser :

- Les paroles en italiques commençant par Nous sommes de ceux, dans la partie I ne sont pas à moi, elles appartiennent à la chanson De Ceux du groupe FAUVE et l'entierté des phrases en italiques de la partie II sont de Sous Les Arcades du même groupe.

- Le poème cité à un moment provient du livre Neige de Printemps de l'auteur Mishima. :)

Je suis trop heureuse de vous retrouver ! Un énorme câlin (de loin mais un câlin quand même haha) à vous toutes (et tous ?) pour fêter ça ! Et du Champomy pour celles qui ne sont pas à l'aise avec les câlins ! :D

PS : Hisekai si tu passes par là, j'espère que tu trouveras une certaine intensiteeeeey. <3

PPS : Si jamais il y a des incohérences, mots manquants ou autres, ils seront corrigés demain. La fatigue fait que j'ai probablement loupé certains détails. :)

« La vie continue en m'ayant mis entre parenthèses. Je veux savoir ce qui se passe hors des parenthèses. Je ne veux pas être trois point de suspension entre ces foutues parenthèses. »

Agnès Ledig, Pars avec lui

Partie I : Oiseaux en cage ou la mécanique du coeur 

(musique : Hostiles Soundtrack - Never Goodbye)

Nous sommes de ceux qui ont la peau terne, les traits tirés et le regard éteint. Des visages pâles, des teints gris. Nous sommes de ceux qui se délavent de jour en jour.

Il y avait eu ces mots trop noirs sur cet écran trop blanc.

Nous sommes de ceux qui tiennent pas la pression. Nous sommes de ceux qui se font balayer à répétition.

En temps normal - enfin aussi normal que celui-ci pouvait l'être dans cette vie à l'équilibre constamment précaire sur laquelle il évoluait jambes tremblantes - Jimin ne portait pas une attention aussi grande à la couleur qui habillait les caractères de son téléphone ; mais dès l'instant où il avait reçu le SMS de Yoongi le noir des lettres avait soudainement semblé envahir (engloutir) tout l'écran, comme s'il se mettait à déborder. Et, pendant une courte minute, l'étudiant avait même eu l'impression que ce dernier allait finir par sortir de sa prison de verre - la briser - pour couler tout autour de lui et le noyer.