XVIII. Sortir du coffre

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Bonjour !

Après plusieurs mois d'attentes (et de partiels, même au bout de trois ans ça me gonfle toujours autant cette période-là mdr) voilà le nouveau chapitre ! J'espère que vous ne serez pas déçu, il se concentre beaucoup sur Jimin et J-Hope et analyse en quelque sorte leur relation. Bon ce n'est pas le chapitre le plus joyeux de l'histoire aussi mais je tiens à vous rassurer, je n'aime pas les fins tristes et il n'y a plus que quelques chapitres à cette histoire avant sa conclusion donc après tout le malheur, la suite apportera beaucoup de bonheurs ! :)

Je n'ai pas écrit une ligne depuis un très long moment, j'ai travaillé trois jours entiers sur celui-ci pour qu'il soit le meilleur possible alors j'espère avoir été à la hauteur haha. D'autant plus que je dois gérer mon deuil après Endgame en parallèle de tout ça et ce n'est pas facile, Marvel est presque toute ma vie alors... :ccc

Enfin voilà, je souhaite sincèrement que ce nouveau chapitre vous plaisent, j'ai un peu peur comme toujours. :')

Merci de toujours suivre avec autant d'amour cette histoire, je vous le rends x3000. <3

PS : Les paroles en italique de la partie I proviennent de la chanson Jennifer de FAUVE, la citation au début du chapitre provient de l'un de mes auteurs préférés.

PPS : J'espère aussi que vous apprécierez J-Hope autant que ce personnage me tient à coeur. :)

PPPS : Merci Hisekai pour tes précieux conseils. <3 















« Je cherchais, je sentais les doigts dans ma tête qui se tendaient mais sans arriver tout à fait à toucher ce qui me tracassait pareillement. Et puis ça m'est venu, comme un coup de tonnerre ou une collision, mort et destruction. J'ai quitté la buvette et suis parti, la peur au ventre, marchant vite sur les planches, croisant des gens qui paraissaient bizarres et fantomatiques ; le monde était comme un mythe, une dimension transparente et plane, et tout ce qu'il y avait dessus n'y serait que pour très peu de temps. Tous autant qu'on était, Bandini, Hackmuth, Camilla, Vera, on ne faisait que passer ; après ça on serait ailleurs. On n'était pas vraiment en vie ; on s'en approchait, mais on n'y arrivait jamais. »

John Fante, Demande à la poussière






Partie I : Car Jimin n'est pas haut comme trois pommes




« J'ai rencontré un mec hier soir.

- Et alors ? Le courant est bien passé ?

- On n'a pas vraiment fait la conversation. Il avait l'air d'être le genre de type tellement sûr de lui. Tu sais celui déjà bien conscient qu'avec son charisme personne peut lui dire non.

Beau-frère ➸ j.kookOù les histoires vivent. Découvrez maintenant