MILLION – NCT / KUN x LAY (EXO)
D'aussi loin que je me rappelle, avant de venir en Corée du Sud, ma famille était pauvre. De ce temps où nous mourions de faim à longueur de journée, où j'avais stoppé le primaire pour faire des bricoles.
Grace à ma sœur, ce passé funeste est loin derrière nous, son mariage inatendu et presque féérique avec un riche entrepreneur sud-coréen nous avait sorti de l'enfer.
On vivait dans une modeste maison, ma mère avait trouvé un bon travail , ma grand-mère et mon oncle tenaient un restaurant où je trvaillais après le lycée, un lycée prestigieux où ma grande sœur avait eu la bonté de me scolariser.
Mon coréen était bancal mais j'avais pu m'intégrer dans une bande qui me faisait rire et dont je prenais plaisir à rester à leurs cotés. Ma vie avait littéralement changé, de la misère au bonheur, une vie qui plaisait bien à ma grand-mère vu qu'elle n'arretait pas de me demander quand-est-ce que je ramène une fille riche et bien éduquée.
Et comme à chaque fois je tournais les yeux parce que c'était le dernier cadet de mes soucis. L'amour pour moi ressemblait trait portrait à une équation difficile à résoudre dans un problème d'examen. Je ne voulais point y penser, tellement ça m'effrayait de vivre une telle situation et à chaque fois que j'en discutais avec Doyoung, il riait et me disait qu'un jour cela arriverait et que l'on ne contrôle rien du tout. Cependant j'étais prêt à résister s'il le fallait, faisant tout mon possible pour ne pas tomber dans les bras de cette horrible maladie. Enfin c'est ce que je disais avant. Bien avant.
J'attendais le taxi que j'avais appelé depuis plus d'une heure assez frustrer d'tre bloqué par la pluie et d'etre en retard au restaurant, surtout d'avoir mon téléphone à batterie faible. Je soufflai de rage avant d'apercevoir une voiture noire avec l'enseigne « Taxi » dessus. Le taxi en question s'arrreta devant moi avant de baisser la vitre, j'étais sur que ce n'était pas le taxi commandé.
- Je vous dépose quelque part ? M'avait-il demandé dans un coréen rempli d'accent.
Je me suis mis à cogiter sérieusement avant de monter rapidement et de bien impriler le visage de cet homme dans mon cerveau au cas où il m'arriverait quelque chose.
- Merci.
Il sourit en me regardant, au moins il était beau.
- Vous etes chinois ? Me questionna t-il en mandarin
J'avais écarquillé les yeux face à la surprise et il s'était mis à rire légèrement.
- Oui ! J'arrive pas à y croire. Disai je content de parler mandarin avec quelqu'un d'autre que ma famille.
- Au moins quelqu'un que je rencontre qui est chinois. Ravi de vous rencontrer.
Bizarrement je me sentais plus détendu, un sourire énorme ornait mon visage avant que je ne lui répondes et que nous entamions une conversation sur la Chine. Rien de personnel n'était passé dans cette conversation, même pas nos prénoms et lorsque j'y repense, je rigole face à notre engouiemment pour des futilités.
Il y'avait juste la voix du GPS qui venait se mélanger à nos voix. Lorsque je repensais à lui, l'habillement sobre, les cheveux en bazar chic et sa gestuelle élégante, je me demandais s'il était vraiment chauffeur de taxi.
Les traits de son visage et son rire sont gravés délicatement dans mon esprit et cela me fout les jetons de penser à quelqu'un de cette façon.
Alors quand il m'a déposé devant le restaurant et qu'on s'est dit au revoir, je pense que tous les deux nous nous sommes rendus compte que l'on voulait se revoir pour plus... nos noms, notre situation, comment avait on fait pour atterrir en Corée en Sud. Je me sentais le droit de tout lui raconter, à ce parfait inconnu. De rester cloitrer sur ce siège en cuir, à rire avec lui sur tout et n'importe quoi dans notre langue natale.
Je n'aurai jamais cru que quelqu'un kidnapperait mes pensées aussi rapidement sans que je puisse faire quoique ce soit pour le freiner, et je voulais qu'une seule chose, le revoir.
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Million | NCT [FERMÉ]
FanfictionTERMINÉ. | Dans la grande famille NCT, l'amour résonne en échos à travers chaque membre de la team. Des romances d'ados, des sentiments non réciproques, des rapprochements, des interrogations... Et des larmes. L'obstacle vient se mêler à l'harmon...