En finir avec le haram

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Dans la peau de Jihad :

Mon père a eu du mal à encaisser la chose au début mais à force de lui avoir parler avec ma mère, il a fini par accepter les choses. Il m'a expliqué que s'il n'acceptait pas, c'était dû à son enfance. Ses parents lui avaient mis des pressions en lui disant qu'un tunisien allait avec une tunisienne, un algérien avec une algérienne et un marocain avec une marocaine.
On lui avait dit cela pour " préserver les coutumes du pays ".

Alors qu'en sah, la religion et les coutumes ne vont pas ensemble. On a pas le droit de refuser quelqu'un pour son origine ou sa couleur. Mais mon père avait eu du mal à comprendre.

J'ai réussi à avoir un appart' et j'ai quitté mes potes (trop une mauvaise influence), un nouveau travail et une bonne situation.

Mais tout ça, elle le savait pas. Je lui faisais croire que j'habitais encore chez mes potes et que je taffais encore au MacDo. Mais si seulement elle savait 😌.

Tous les week-ends, j'avais le droit de prendre ma fille pour passer du temps avec elle.

C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte de la chance que j'avais. Des personnes ne peuvent pas avoir d'enfants et moi, j'ai pu en avoir.

En attendant, je peux pas passer du temps avec Imane vu qu'on est pas mariés.

Donc je sais pas si vous pensez à la même chose que moi ... 💭

Me marier avec elle sera la meilleure chose pour nous.

💍

Jihad, le premier et le dernier amour de ma vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant