Bonjour M. Câlin

99 29 0
                                    

Après avoir quitté de chez Emmanuela je me rendis en classe. J'étais pressé de rattraper Diane mais la cloche sonna et tout le monde était assi à sa place. Il y avait cinq rangées dans notre classe. J'étais dans le dernier en comptant de l'entrée, elle était dans le quatrième. On pouvait se voir légèrement. On faisait le cours de physique ce jour là.
Je la fixais des yeux, elle me regardait bizzarement dès qu'elle sent mon regard sur elle.

Je tombais de plus en plus amoureux, elle avait tout: Beauté, charme, condiments de femmes...

Elle aimait la propriété, sérieux tout ce qu'elle porte est blanc. Quand je dis tout dans un sens précis, j'ai clignotais mes yeux entre le bouton non fermé, wawo joli soutien blanc sans tache, je sais que c'est pareil là où je ne peux pas voir car elle savait fermer les jambes...
Ses dents sont blanches couvertes par des lèvres rosâtres. On ne peut mieux espérer.
Je ne veux pas parler de ses magnifiques yeux.

À la récréation, j'étais sorti acheter de quoi à manger, sérieux la fille là est une bourgeoise, nouriture ne la dérange. Ce n'est pas les filles qui, une fois, à la récréation s'alignant devant les vendeuses de doukounou (boule de maïs).

Je me suis approché:
-bonjour Diane
-hey tiens! bonjour M.Câlin

C'était mort pour moi, je tentais de m'expliquer et me dis
-C'était juste pour te taquiner, voyons..

Son accent, ses mots bien articulé, je perdais la notion du français c'est une fille qui aime côtoyer aussi

-Diane, je te cherchais depuis la finale des jeux concurrents en vain, tu m'as volé quelque chose que je dois recupérer
-Ah bon? Je te cherchais dès le premier passage des jeux concurrents quand je t'ai vu à la télé, je suis venue recupérer quelque chose aussi.

Elle est sérieuse, elle m'aimait depuis le premier c'est à moi de rendre le coup de grâce. Elle me devança:
-wahab, qaund je t'ai aperçue pour la première fois, j'étais dans notre salon, entrain de suivre le jeu avec attention. Tu m'as émerveillé, j'étais désorientée. J'attendais une occasion pour te voir, de t'approcher, te regarder dans les yeux, sentir comme tu fonctionnes.

Je commençais à me saliver, elle poursuit:

-regarder cet homme qui as semé la terreur dans la tête des autres élèves pour le défier dans son propre terrain.

Pour me défier? C'est ce qu'elle a dit. Pourquoi ne pas sortir avec moi? Je suis parti me mirer, je suis présentable ou bien aller prier avoir la beauté au détriment de l'intelligence!

Sans IssueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant