La famille arriva chez eux, Natsu fut la première à sortir de la voiture. Elle écarquilla les yeux, elle était enfin chez elle.
Elle rentra dans la maison et regarda partout sous les yeux attendries de ses parents, elle alla dans sa chambre, elle n'avait pas changé. Toujours aussi bien rangé, ses peluches étaient là, ses anciens cours, tous étaient là.- Alors contente ? demanda Tenshi derrière elle
- Oui, ça m'avait manqué ! dit-elle avec un petit sourire mais le perdit vite et baissant la tête Il s'est passé quoi après que je suis partie ? demanda-t-elle
- Papa et maman se disputaient beaucoup, ils se sont focaliser sur leur travail et moi aussi. expliqua-t-il Ton pote Midoriya venait souvent pour avoir des nouvelles, il pleurait aussi. Même Bakugo est venu, bon moins que l'autre mais qu'en même ! dit-il en s'approchant d'elle Tu devrais aller les voir.
- Pour leur dire quoi ? Je ne sais même pas quoi leur dire...Ils me connaissent mais moi je ne les connais pas ! dit-elle en soupirant
- Tu trouveras les mots, si tu veux je t'amène chez eux ! proposa-t-il avec un grand sourire
- Si ça ne te dérange pas ! dit-elle en levant la tête
- Je te le propose, c'est que ça ne me dérange pas ! En plus, ça va rassurer les deux autres que je t'accompagne ! dit le brun avec un grand sourireLes deux jeunes descendirent de l'étage et virant leurs parents qui dormaient sur le canapé, Tenshi écrit un petit mot et ils partirent de la maison à pied. Le plus proche était le vert, ils marchaient tranquillement dans le quartier, des voisins venaient les voir pour dire qu'ils étaient contente de la revoir.
Finalement, ils arrivèrent chez le vert, ils montèrent les marches de l'immeuble et elle sonna à la porte.
Se fut la mère qui ouvrit la porte, elle était petite, des longs cheveux vert foncé, des yeux aussi vert que ceux de son fils, ces derniers se remplirent d'eau ce qui ému la jeune fille. Elle la reconnut toute suite, elle ne l'avait pas oublié.- Bonjour tante Inko ! dit-elle avec un petit sourire
- Ma petite ! dit la mère en la prenant dans ses bras Tu es bien là, je ne rêve pas ! dit-elle en lâchant des larmes
- Désolé de vous avoir inquiétez ! dit la violette en la serrant en retour
- Ce n'est pas de ta faute, rentres ! Bonjour à toi Tenshi, rentrez ! dit-elle en les laissant partirLes rentrèrent, leur appartement était bien plus petit que leur maison mais tous semblaient chaleureux. La mère les installa dans le salon et prépara du thé, son fils arriva aussi et fut gêner de voir son amie là, elle se leva et alla vers lui.
- Salut... dit-elle en jouant avec ses doigts
- Salut, comment tu vas ? demanda-t-il en se grattant l'arrière du cou
- Un peu compliqué, savoir que tu as perdu la mémoire, que tu étais une personne en pensant que c'était bien toi pour au final être un mensonge, me perturbe plus qu'autre chose... Mais je ne suis pas venue pour ça... Comment toi tu vas ? demanda-t-elle en le fixant
- Je vais bien- commença-t-il
- Honnêtement Izu. dit-elle en mettant une main sur l'épaule musclé du plus jeune Est-ce que tu vas bien ? demanda-t-elle à nouveau, cette fois avec plus d'insistanceIl la regardait surpris par ça, ça faisait longtemps qu'il n'avait plus entendu ça, surtout d'elle, elle était la seule qui s'était vraiment inquiétée pour lui. Alors, il lâcha tout.
- J'ai vraiment cru que tu n'étais plus là, que je ne pouvais plus te parler ou même te voir. J'étais très triste qu'on se soit disputé avant que tu disparaisses, je pensais vraiment que c'était notre dernière conversation et ça me rendait malade ! dit-il avec beaucoup d'émotion S'il te plais, ne pars plus... dit-il en laissant couler les larmes
La violette le prit dans ses bras et le serra très fort, il lui rendit l'étreinte et pleura sur son épaule.
- Je ne pars plus, je suis là ! dit-elle en lui caressant les cheveux
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My Hero Academia : Blackout
أدب الهواةLe monde a évolué en même temps que les hommes : désormais une grande partie de la population possède des capacités hors du commun, nommées « Alters ». Ils peuvent être de toutes sortes et se manifestent vers l'âge de quatre ans. Bien qu'on ne se l'...