ANHEDONIE

5. { BONHEUR ÉPHÉMÈRE }

" Ma mère souffre énormément, et moi aussi. Je le déteste a un point inimaginable. Il gâche tout, et surtout mon bonheur. Il commence à même me frapper, pour lui je vais devenir comme ma mère et qu'il doit déjà me corriger. A cause de lui je me suis renfermern sur moi même. Je détesté que qui se soit me touche, ce qui pour eux veut dire que je suis folle. Tout le monde avait peur de moi, et me trouver méchantes car je les frappais, pour me défouler."

Je ne pensais pas que je pouvais un jour goûter au bonheur ou être heureuse. Moi qui ne supportais pas les hommes, aujourd'hui j'aime un homme. J'ai facilement donne ma confiance ce qui n'est pas dans mon habitude, mais je sens qu'avec lui ce n'est pas la même chose.

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Cinq juillet

J'ai réussi mes examens, j'ai donc mon bac. Selma aussi, elle etais tellement heureuse. Je vais en vacances nulle part et elle non plus. Elle m'a proposé d'aller se promener ce que j'ai accepté. Je ne suis plus renfermé, je suis devenue meilleur grace à Imran.

Je me prépare,survêtement et je fais un chignon haut, puis sort. Elle m'attendais en bas de ma tour. On se tchèque, puis on marche tout en discutant.

Il fait chaud, maintenant la journée est plus longues que la nuit. Ce qui me dérange car avec Imran on se voit moin longtemps.

Selma parle beaucoup et se confie aussi. Elle donne facilement sa confiance ne sachant pas qu'il existe des mauvaises personnes aussi.

Elle a un copain, qu'elle aime plus que tout. Juste en l'entendent parler de lui tu vois tout l'amour qu'elle a pour lui. Moi je ne lui ai jamais parler d'Imran. Ce n'est pas mon genre de déballer ma vie. Et je suis trop pudique pour dévoiler mes sentiments comme ça, même lui ne saura jamais tout ce que je ressens vraiment pour lui.

- Je t'ai déjà dit traine olus avec elle, tu veux j'te gifle pour que tu comprenne.

Oh mais qui voila, Nabil. Je suis tellement heureuse de le voir|ironie|.

- Mais c'est quoi ton problème ? Moi je choisis pas tes shab, pourquoi tu veux choisir les mien.

- Sur qui tu cri, redescend maintenant, jsuis pas ta pote moi.

- C'est bon Nabil, je comprend pas pourquoi tu ne l'aimes pas.

- Mais oh ? T'es sur que t'habite dans cette cité toi. T'entend pas tout ce qu'on dit d'elle. C'est une folle zbi.

Je n'écoute même plus ceux qu'ils disent, juste je m'en vais. Ce qu'il dit me blesse je veux pas être blessé davantage. Je fais demi-tour pour rentré chez moi, et rester seul comme a mon habitude a lire un bon petit livre. Je ne sais pas ce qui ma pris a vouloir me faire des ami et encore moin accepté de me promener avec.

- Attend Ramïa !

Elle cour pour me rattraper.

- Fais pas attention a ce qu'il dit.

Plus facile a dire qu'à faire, je me contente de lui lâcher un sourir se voulant rassurant.

On continue notre petite balade, elle m'a fait oublier la dispute de son frère carrement. Je m'attache à elle, j'espère qu'elle est vraiment une bonne personne et qu'elle ne joue pas un rôle.