ANHEDONIE

6. { DOUTE }

" Ma vie est devenue un cauchemar sans issus. Quand mon père a sut que j'étais violente, il m'a vite calmé. Pour gerer ma violence, je commence a faire de la boxe."

Il n'est pas venus, j'ai peur qu'il ne reviens plus jamais. Notre histoire venait tout juste de commencer, elle ne peut pas se terminer de cette façon.

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Quinze juillet

Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec mon psychologue, je dois le voir 2 fois par ans. C'est comme ça depuis la morts de mes parents.

- Alors, comment vas-tu Ramïa ?

- Bien.

- Tu ne m'as pas l'air d'aller bien. C'est vrai que tu vas mieux que la fois passé. Mais a tout moment tu peut replonger dans une dépression qui t'amenera a l'anhedonie.

Il essaye en vain de me faire parler, mais moi je répondais avec un silence. Quand l'heure passa enfin je rentre chez moi, et je termine la lecture d'un livre que j'ai commencé il y a quelque jours.

Lire me premet de m'échapper, de m'enfuir. De ne plus être moi, le temp d'un instant. D'oublier mon identité réel.

Lire est une passion. Et s'en suit l'écriture. En lisant c'est vrai qu'il se passe des choses inattendus dans histoire, qu'on a pas a inventer. Mais en écrivant ta le destin des personnes entre tes mains, c'est toi qui décide tout. Et ton imagination peut aller dans tout les sens.

J'aime beaucoup écrire, mais moi j'écris juste mon vécu pour l'instant , comme mon passé. C'était mon psychologue qui m'avait proposer de mettre tout mon ressenti sur feuille. J'ai suivit son conseil et je ne regrette rien.

Mais même en étant plongé dans l'histoire mes pensée réussisse quand même a allé vers lui. Il fait quoi? Est ce qu'il va bien?

Bien-sûr qu'il va mal, et je ne suis même pas à ses côtés, quel genre de... je ne sais pas ce que je suis véritablement pour lui.

Ma vie n'a plus aucun goût sans lui c'est fou. J'ai besoin de me défouler, de me changer les idée. Alors jeprend mon sac de sport et direction la salle. Je fais beaucoup moin de sport mais j'en fait toujours. Mon activité préféré apres la lecture.

En me défoulant je repense à lui, je ressens un manaue terrible. Je veux qu'il revient mais je ne fois pas tomber dans une dépression encore une fois. Il reviendra quand il sera prêt.

Je fais ma douche et médite. Je dois aider sa famille et les prendre en charge vu qu'il n'est pas la. Je vais aller voir sa soeur et essayer de lui remontée me moral. Sa soeur est vraiment importante pour lui, je sais qu'il appréciera que je l'épaule.

Je vais à son batiments un peu stressé en chechant une bonne phrase pour bien commencer la conversations. Faut me comprendre je ne fais jamais ce genre de chose habituellement, je pense meme3que c'est la première fois. Parce que avec Selma c'est elle qui est venu vers moi.

Je sonne, après quelques minutes elle m'ouvre la porte les yeux aussi rouge qu'hier.

- Il n'est toujours pas revenus.

Elle allait refermé la porte mais je l'arrête au dernier moment.

- Euh enfaite je ne suis pas venus pour lui.

- Et pourquoi alors?

- J'ai perdus mes parents et je sais ce que ça fait, si tu veux on peux en discuter.

- J'en ai pas besoin.

- Sa te fera du bien.

Elle hésite mais finis par complètement ouvrir la porte m'invitant a entré. Je ma remercie. La décoration est super simple mais c'est ce qui la rend belle.

- C'est super beau.

- Merci, c'est Mama...

- Désolé

- Ce n'est rien.

On commence à se sentir un peu plus a l'aise. Le feeling est passé super bien, il lui arrivait même de lacher des petit rire de temps en temps. Elle me dit aussi qu'elle a déjà entendue des  rumeurs sur moi mais que je ne suis pas du tout comme on me décrit.

Elle a même voulu en savoir plus sur la relation que j'ai avec son frère. Évidemment je n'ai rien dit, esquivant le sujet au maximum.

Elle est trop douce et polie malgré tout les problèmes qu'elle traverse elle reste forte.

Il se faisait un peu tard du coup je l'ai quitter. Je me sentais beaucoup mieux après lui avoir parlé, ça a été bénéfique plus pour moi qu'elle en fin de compte.

" Ma mère me hait, alors que je n'ai rien fait. Mon exitence n'aurait jamais du avoir lieu. Mais j'y peux rien moi. Je me hais aussi. Je hais tous. Je suis remplie de haine enfin c'est ce que je croyait avant que je déborde d'amour. "

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Seize juillet

Assise sur le banc, je l'attend désespérément. Pourquoi il me fais ça, il m'énerve. En plus il fait un peu froid même si on est en été.  Il ya des pesonnes qui passent et qui me regardent bizarrement biensur un fille assise seul sur un banc à 4h du matin ce n'est pas commun.

Au départ je ne faisais pas tres attention, et je nie comme à chaque fois. Mais un des hommes refait plusieurs aller et retour. En me fixant avec un petit sourire au coin. Oh non, il se rapproche.

- Salut ma jolie.

Je ne répond pas et me met dos à lui.

- Oh répond.

Je me retourne et le regard bien de travers avec un regard noirs, il fait pitié.

- Grosse pute répond ta race.

- Me confond pas avec ta soeur.

Et la c'est pas il me donne une patate. Je lui rend évidemment, mais il est beaucoup plus imposant et fort que moi alors il me maitrise.

- OH TU FAIS QUOI LÀ.

C'est sa voix ou je suis juste fatigué. Je sens qu'on sépare l'homme de moi. Je n'ai pas le temp de reflechir plus parce que mes paupières se ferment seul. Il ma achevé se con. J'ai mal partout.

Wildfloweer__