" Ça fais si longtemps que je n'ai pas écrit, je ne sais même plus où j'en suis. Mon histoire est si compliqué en se qui concerne mon passé mon présent et j'en suis sur mon futur aussi."
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Vingt-deux aoûtMa valise est bouclé, tout mes affaires sont rangé aujourd'hui je m'en vais. Un nouveau départ, une nouvelle famille m'attend.
Matilde va énormément me manqué ainsi que la maison. Je m'en vais, pour sans doute jamais revenir. Les adieux sont le plus compliqué, je préférerais partir sans me retourner. Mais on ne fais pas toujours ce qu'on veut on fait juste ce qu'on peut.
Des bisous, des calins, un au-revoir et puis je l'ai quitté. En faite je ressens encore un peu au fond, mon psychologue se trompe sur mon état. Mon coeur ne s'est pas complètement gelé ou peut-être est-il en train de fondre.
- Fais attention à toi, et ne m'oublie pas.
Je luis sourit puis renferme la porte derrière moi, ma valise dans la main je traverse la cité pour allée dans mon nouveau bât.
Arrivé devant la porte je respire profondément puis toque. C'est une femme qui m'ouvre, cette femme est l'épouse de mon oncle. Elle me sourit faussement et me parle du bon temp hypocritement. Elle discute seul, j'ai arrêter de l'écouter. Elle me montre ma chambre puis elle s'en va. La première chose que je fais c'est de regarder par la fenêtre, d'ici il ya un tout autre paysage, c'est le côté un peu plus sombre, mais ça ne m'effraie pas.
Je ne serais pas seul dans cette chambre puisque il y a deux lits, Shana et moi ça ne fonctionnera pas. Je déballe mes affaires puis range mes vêtements dans la place qui m'est attribuée dans l'armoire. Je refais mon chignon puis sors de la chambre, je ne suis pas de nature timide mais là je me sens mal à l'aise je ne sais pas où aller.
Heureusement que dès que je sors je tombe sur mon oncle, il sourit de toute ses dents à ma vu puis me prend dans ses bras. Je garde mes bras le long de mon corp et attend qu'il me lache. Il se détache puis commence à me parler comme si ... il n'y a rien, il est fort. Je ne repond pas me contente de garder le silence.
Il est l'heure du repas toute la famille et autour de la table. Aziz le père de famille, Fatima la mère, Mehdi et Mourad les hommes de la maison et pour finir Shana la pute, non je rigole, ou peut-être pas.
Je ne me sens pas à ma place, tout est si différent. Les garçon sortent suivis d'Aziz, il manque plus que Fatima, Shana et moi. Fatima prend la parole en me souriant, je pense qu'il n'est pas utile de précises qu'il est faux.
- Ma chérie je suis fatiguée, tu peux débarrasser.
Je ne dis rien et la regarde profondément, je l'intimide mais elle se reprend.
- Merci je vais dans ma chambre n'oublie pas de faire la vaisselle.
Elle se leve son sourire toujours collé sur sa face puis disparaît. Shana toujours présente laisse un commentaire alors que personne ne lui a rien demander.
- Je comprend mieux pourquoi ma mère à accepter que tu vis avec nous.
Elle rigole avec son rire insupportable et assourdissant puis part à notre chambre.
Je ne dois pas me laisser faire et je ne me laisserai pas faire. Mais là je n'ai pas la force de me prendre la tête. Je range vite fait puis je vais à ma chambre. Juste mis un pas, je reçois un coussin en pleine figure.
- Sors je suis au tel.
Je la regarde de travers, elle ne mérite pas que je lui adresse la parole. Je prend ma brosse et mon dentifrice puis vais à la salle de bain.
Je me lave les dent et met un pyjamas, un survet. Shana s'est endormis au tel, je pose son tel sur sa table basse puis je vais à mon lit. Mon lit est près de la fenêtre un point positf. J'essaie de dormir, je tourne dans tout le sens, j'ai tout essayer même comptée les moutons, mais je pense que c'est inutile.
Je me sens à l'étroit, j'etouffe, j'ai besoin d'air, il faut que je sorte. Je me lève et traverse l'appart sur la pointe des pieds. Je prend mes basket avec une main et avec l'autre j'ouvre la porte.
Une fois en dehors de l'appart je souffle enfin. Ici ce n'est pas très sur de sortir à cette heure-ci, alors je vais me contenter d'aller sur le toit. Je monte et je trouve la porte ouverte, quelqu'un y est-il déjà ?
Je vois une ombre, affalé par terre au milieu de plusieurs seringues. Sur le moment j'ai paniqué, j'ai cru qu'il est mort. Car c'est un homme enfin je suppose vu sa corpulence.
Je met ma tête sur son torse pour écouter ses battements de coeurs, ouf il est en vie.
Il fait trop sombre je ne vois pas son visage, je me demande bien qui s'est. Il a l'air anéanti et super triste on dirait moi, mais moi je garde tout au fond.
Plus je le regarde, plus j'ai l'impression de déjà vu, de le connaître. Une fois que la lune n'a plus étais caché par les nuages. Son visage s'eclairsit. C'est.....
( Essayée de deviner qui s'est! Celle qui devine la première je lui fait une pub dans la partie suivante )
Wildfloweer__
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ANHEDONIE
RomanceAnhedonie. Symptômes très fréquent que vous avez sûrement déjà expérimentée d'une certaine façon. Il s'agit de l'incapacité de ressentir du plaisir ou profiter des choses. Notre cerveau décide de se déconnecter et ne plus rien ressentir pour ne pas...