Chapitre 8

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Je suis en cours à coté de Dinah. En temps normal nous discutons jusqu'à ce qu'on ce fasse reprendre par les profs, mais je suis trop dans mes pensée pour tenir une discussion, surtout avec une pipelette comme Dinah. Madame Brook a derrivé son cours sur les loups-garous, plus précisément sur la guerre.

- "Quand notre Chancelier a donné l'ordre d'attraper et de tuer tous les loups-garous, ceux-là ce sont défendu, ce qui a provoqué une guerre ou des milliers d'innocents étaient tué de chaque côté. La guerre c'est arrêtée en 2028 quand Baraka Obama, le dirigeant de l'Europe, à demander un traité de paix entre le peuple Américain et les loups-garous d'Amérique. Les 2 ce sont rencontrés, mais aucun représentant des loups n'était la, alors ils ont décidé que les loups resteraient dans les forêts seulement aux États Unis, car en Europe ils sont libres. Seulement si les États Unis deviendraient un pays complètement fermé, à la demande de Donald Trump. Baraka Obama a accepté pour éviter le genocide des loups-garous." Nous raconte Madame Brook. Toute la classe est silencieuse.

- "Mais Madame, ça veut dire que les loups-garous n'ont jamais été au courant de ce traité si aucun loup n'était là." Demande un élève.

- "C'est exact, c'est pour ça que quand la guerre c'est terminer, les loups ont continuer d'attaquer les humains alors que tous était censé être terminé. Après ça Donald Trump, à ordonner l'exécution de chaque loup qui pénètre la ville."

- "D'autres questions ?"

- "On ne pourra jamais quitter ce pays ?" Je demande tristement.

- "Non, je suis désolé Camila."

***

Le cours vient de ce terminer. Ça est la première fois que je suis attentive dans un cours. Elle a sue me dire des choses que je ne savais pas avant, comme je fait qu'à l'époque les Chasseurs n'était que de simple jeune hommes forcés. Mais maintenant ce sont des hommes sans cœur qui ont soif de sang. Seulement des hommes car Trump est sexiste. Il n'est pas que ça, il est raciste et aussi homophobe. Mais pour l'homophobie il laisse les gens tranquilles, car il c'est déjà que sont peuple ne l'aime pas, alors si il fait des lois homophobe il perdra le soutien de quelques gay puissants.

Je range mes affaires et marche pour quitter la classe en dernière vue que j'étais encore dans mes pensées. Je marche vers la sortie mais la prof m'appelle.

- "Oui Madame ?"

- "J'aimerais savoir si ton exposé ce passait bien ?"

- "Heu, oui." Je répond stressé.

- "Tu as rencontré des gens qui ont pue t'aider ?"

- "O-oui."

- "C'est bien, je suis sûr que tu auras une bonne note avec cette aide." Elle me répond en souriant.

- "Heu, oui, merci." Je sors de la classe en la saluant. C'était très bizarre toutes ces questions.

***

- "Je sais pas c'était bizarre qu'elle me  pose toute ces questions, surtout qu'elles étaient assez précises." Je dis adosser au corps de Lauren allongé.

- "Tu lui à rien dit ?"

- "Non, je lui ai rien dit."

- " Et t'as rien laissé paraître ?"

- "Du genre ?."

- "Je sais pas, t'as pas changé de comportement depuis que tu me connais ?"

- "Je, non, si, je sais pas" Je lâches en soufflant.

- "Comment ça ? Tu sais où tu sais pas c'est pas compliqué."

- "Si c'est plus compliqué que oui ou non Lauren."

- "Alors explique moi."

- "Non, je peux pas."

- "Camila arrête de faire l'enfant." Elle se lève se qui m'obligé à me tenir assise. Elle se met assise devant moi, alors je me lève pour être à ça hauteur.

- "Je fais pas l'enfant, c'est toi qui ne peux pas comprendre les sentiments, tu es née loup et tu ne t'es jamais transformé."

- "Qu'est-ce que tu veux dire par sentiments ?" Elle me demande en tournant la tête comme un chien.

- "Rien."

- "Si tu as dit que je ne comprends rien aux sentiments humains !" Elle me demande en grognant. Je suis soulagée qu'elle n'est retenue que cette partie, je sais pas comment j'aurais fait si elle m'aurait demandé si j'avais des sentiments pour elle.

- "Lauren, je voulais pas dire ça." Je lui dis en m'approchant d'elle pour la caresser, mais elle recule en grognant.

- "Tu pense vraiment que je ressens rien, que je n'ai pas de cœur, que je suis un monstre !?!" Elle me crie dessus, mais je peut entendre de la tristesse dans ça voix.

- "Non, Lauren, jamais je penserais ça de toi." J'avance encore vers elle mais elle ce retourne.

- "Tu devrait rentrer chez toi." Elle me dit comme si j'étais une inconnue avant de partir en courant. Je ne reste pas plus et rentre chez moi les yeux humides.

Camren Super Oméga Où les histoires vivent. Découvrez maintenant