Il était de l’autre coter de la porte, tout près de moi. Nous n’étions séparés que d’une épaisse porte en bois. Cette pensée me faisait frissonner. Je collais mon oreille contre la porte essayant d’entendre ce qu’il se passe de l’autre coter.
« Il n’y a rien dans la cuisine. » fit une voix qui m’était inconnue.
« Apparemment Zayn à trouver quelque chose. » ricana une voix qui me glaça le sang. Le châtain qui m’a giflé.
J’entendais des petits cris. Maman !
« Elle était cachée dans l’armoire d’une des chambre. »
J’essayais d’entrouvrir la porte, mais elle était bloquer. Je forçais du plus que je le pouvais, mais impossible. Mes armes dévalèrent mes joues.
HPOV
Je m’appuyais contre la porte du placard sous l’escalier, alors que Zayn arrivait avec une femme, d’une cinquantaine d’année.
« Elle était cachée dans l’armoire d’une des chambre. » Il dit en souriant.
Mon dieu, elle aurait pu se cacher dans un endroit moins évidant.
« Et regarde, elle ne sait même passe tenir debout. » Il riait, et lâcha la femme, qui tomba directement par terre.
Les autres pouffèrent de rire avec lui. J’aimerais allez relever cette femme, mais si j’enlève mon poids de la porte, cette pauvre sotte indiscrète risque de rouvrir la porte, et dieu sait ce que Louis et Zayn veulent lui faire.
Mes yeux se figèrent sur un fauteuil roulant près de la table à manger.
« Zayn, laisse là, elle est handicapée. » dis-je en pointant d’un hochement de tête, le fauteuil.
Ils se retournèrent tous vers ce dernier, et regardèrent la femme. Je sentis une pression sur ma jambe. Elle essai de l’ouvrir.
LPOV
Que lui font-ils bon sang ? Je ne pouvais m’empêcher de pleurer en imaginant ma mère souffrir. Qu’il me laisse sortir cet abruti ! Je préfère être prise à la place de ma mère.
« Bon allez, on déguerpit. » fit la voix de celui qui essai en ce moment même de me sauver la mise.
« Oh Harry, on ne va pas partir comme ça ! » fit la voix de ce prénommé Zayn si je ne me trompe.
Alors il se nomme Harry. Peu importe, tout ce qui compte, c’est de sortir de là pour aider ma mère. J’appuyais le plus fort possible la porte, mais m’arrêta net, en entendant un fracassement. Des bruits de verres qui se brisent au sol. J’entends ma mère crier, et les supplier d’arrêter. Je frappais contre la porte, mais les bruits d’objet qui se brisent couvrent le bouquant que je fais.
« Les mecs, ça suffit, on s’en va. » ordonna Harry, d’une voix autoritaire.
J’entendis des soupire, puis plus rien. J’ouvrir rapidement la porte, et trébucha par terre. Lorsque je relevais la tête, je haletai. Qu’ont-ils fais ? La maison ressemble à une déchetterie. Les placards ouverts, les objets ; couverts, assiettes, verres, cadre photo, télé, et j’en passe, brisé. Ma mère était par terre, pleurant à chaudes larmes. Sa chemise de nuit avait des traces noires de dessous de chaussures. Je m’approchais d’elle en rampant rapidement, et décala les mèches de cheveux qui couvraient son visage derrière son oreille. Elle avait un bleu qui se formait autour de son œil.
« Je vais les tué. » chuchotais-je en pleurant. Je la plaquai contre moi, et appuyais mon front sur le dessus de sa tête.
« C’est décider, tu vas à la campagne. » protestais-je, en la prenant dans mes bras. Je la plaçais sur son fauteuil. « Tu prends le prochain train, et ce n’est pas une question.
« Je n’ai pas le droit, et tu le sais. Il n’y a que les mineurs qui ont l’autorisation de monter. » Elle dit faiblement, en essuyant ses larmes.
Je lui enfilais ses pantoufles, et la couvrait de son manteau, de son écharpes, et de son béret mauve.
« Je trouverais une solution. » soufflais-je en enfilant ma doudoune et mes baskets à mon tour.
« Alors viens avec moi. »
Je soupirais. « Ce sera beaucoup trop voyant. Je ne peux pas. Mais ne t’en fais pas, tout ira bien. »
« Non ! » elle protesta doucement, et se remis à pleurer. Je la poussais jusqu’à dehors, et fis rapidement la route jusqu’à la gare. Elle était déjà blinder de femmes et d’enfants. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai énormément de chance, mais l’arrière du train qui était déjà presque complet était ouvert. Je me dirigeais rapidement vers celui-ci, mais malheureusement pour moi, j’entendais les sirènes du départ du train.
Je courrais plus rapidement, et m’assurais qu’aucuns gardes n’étaient là.
« Papa, si tu es avec nous, aides nous ! » suppliais-je intérieurement.
Arriver assez proche de l’arrière du train, je portais ma mère ouvris la porte. La voix est libre. Il ne restait plus qu’une place à coter d’une jeune adolescente avec un bébé d’à peine deux mois dans les bras, entrain de pleurer. Je plaçai ma mère à coter d’elle, et elle me regarda fixement. J’embrassais vite ma mère.
« Restes avec moi ma chérie… » Elle pleurait en m’attrapant le poignet.
Je vis un contrôleur arriver de l’autre wagon. Je fis un dernier regard à ma mère et courra hors du train qui commençait déjà à avancer. Je regardais le train s’éloigner en pleurant. Je laissais le fauteuil roulant près de la voie, et m’en allait en courant.
Elle est en sécurité maintenant.
Je m’en allais de la gare, un pincement au cœur. Je suis seul maintenant. J’essuyais mes larmes, et m’en allait vers chez Liam. Les rues sont calmes aujourd’hui. J toquais trois coups à sa porte, et il vint m’ouvrir, son habituel fusil à la main.
« C’est toi. » il me souriait et me laissais entrer.
« J’ai réussis à mettre ma mère dans un des trains. Elle vient de se faire agresser. Les britanniques sont venues chez nous et… » Je ne pouvais pas continuer, je m’effondrais dans ses bras, et il caressait l’arrière de ma tête avec sa paume.
« Et que t’ont-ils fait ? »
Devrais-je lui dire qu’un de nos ennemis a tenté de m’aider ?
« Rien. » Il fronça les sourcils, et je décidais de tout lui raconter. Ce qu’il m’ait arrivés dans la rue lorsque je revenais de chez lui.
« Ecoutes, peu importe ce que ce type a fait pour toi, restes sur tes gardes et n’approche aucun britanniques.
J’approuvais d’un hochement de tête.
« Veux-tu rester ici ? »
J’allais répondre mais il me coupa. « Oh mais non, je suis bête. Tu dis que ce Zayn et son compagnon t’ont dit que vous vous reverriez bientôt ? » J’hochais la tête, incrédule. « Eh bien, si tu vas chez toi ils ne te trouveront jamais. Ils ont saccagés ta maison, alors pour eux, ils n’ont plus rien à faire là-bas. Ils n’y retourneront pas, alors, je ne veux pas te jeter, mais retournes-y, et fait toi discrète. »
Il me sourit.
« Il a raison. » Approuva Marta qui pénétrait dans la pièce. Elle me souriait en retour.
« Très bien. » Je leurs fis une bise et m’en allait, après avoir assuré à Liam que je serais prudente.
Je trottinais jusqu’à chez moi, en infiltrant mes mains dans les chaudes poches de ma doudoune.
J’arrivais chez moi, et souleva la porte qui était par terre. Je la remettais en place, et mis un meuble à chaussure contre elle, pour ne pas qu’elle retombe.
Je soupirais, ôtais ma doudoune, et l’accrochais au porte manteau, intacte.
« Vous devriez être plus discrète. »
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Endless Love // h.s
FanfictionLorsque le destin de deux personnes censé se haïr se croise, tout se mélange, et tout change. Avec Harry Styles, Esti Ginzburg, Niall Horan, Zayn Malik, Liam Payne et Louis Tomlinson.