19. Craindre les Enfers

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Les créatures sortant du sol sont les Démorts. Une gigantesque armée. Hadès en première classe avec Yormend, son neveu. Les Croates font signe que la bataille commence en levant leurs épées. Les deux armées courent l'une vers l'autre. Et tout le monde s'entrechoquent dans un océan de sang. Les Démorts déchirent les corps et enflamme le champ de bataille. Des boyaux avaler par les vers de terres.

- Allez y !Venez voir ! Dit Hadès. Ces gens viendront dans le Tartare, ils souffriront. Venez voir les mers de sang ! Les crânes enterrés dans la Terre !

-Archers ! Tirez ! Annonce le chef de l'armée hongroise.

Yormend trempe son épée dans les poumons de ses ennemis. Les flèches tirés atterrissent dans les crânes et dans les coeurs. Les démons de Hadès commencent à décimer l'armée Croates. Les hommes s'enfoncent leurs épées  et leurs haches. Les démons des enfers s'attaquent au hommes. Des gens s'effondrent et d'autres restent debout. Hadès avec sa fourche, transperce des vingtaines d'hommes en un seul coup. Un grand commandant Hongrois, Hundrer, se confronte à Yormend. Les deux hommes se battent, épées entrechoquées. Hundrer, d'un coup chanceux, enfonce la lame de son épée dans le cœur du fils de Poséidon. Yormend s'effondre à terre. Tout à coup, un bruit sourd retenti. Et un énorme rat de marrée sortie de la mer et englouti le champ de bataille. Les guerriers étaient noyés ou emportés par le tsunami. Hadès retourne dans les Enfers.

PDV RATLÈS

Ratlès se lève, le sang de Ivar au visage, il regarde les hommes autours de lui.
- Je suis votre Roi ! Votre Commandant ! VOUS M'OBEIREZ TOUS ! Gardes, mettez le corps de Ivar sur un pic.

Les gardes interceptent le cadavre de Ivar.
Ratlès emmène tous ses hommes, sept-cents hommes vers la cité de Argos. Personne ne régné. Les habitants sont pauvres, ils meurent de faim, de soif. Il n'y avait même aucun soldat. Ratlès prend possession de la ville d'Argos. Et ce rend au temple d'Héra, où il fait une offrande. Cette offrande, la tête d'Ivar. Le ciel devient gris, les nuages recouvrent le soleil. Et des éclairs jaillissent du ciel.  Dans la ville on attend les cris de douleur des enfants, des hommes et femmes souffrant de maladies atroce.

- Garde ! Tuez chaque habitants ! Hommes, Femmes et Enfants ! Volez leurs or. Ordonne Ratlès.
Les gardes obéissent à Ratlès, brûlent les maisons. Tuent tout le monde...Un terrible massacre.

[EN PAUSE] Le Guerrier d'ArèsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant