[EN PAUSE] Le Guerrier d'Arès

22. Invasion de l'Est

Rihsé reste tétanisée. Elle cours essayant d'atteindre son armée, cachée dans la forêt, mais elle n'arrive pas jusqu'au bois. Elle se fait embrocher par un géant. Le géant sépare sa tête et son corps pour le donner aux démons qui raffolent de la nourriture.

À l'est de là, à l'est du monde Perse et Macédonien, habite un peuple, dans un immense pays, la Russia. Les néo-sarmates, habitants de l'est. Là-bas, la neige tombe en abondance. Une troupe de guerriers s'apprêtent à partir en expédition, le chef de troupe, Vladizir rassemble ses guerriers, une quarantaine de bon soldats.

- En route ! En rang ! En marche ! Cri Vladizir.
La troupe se met en marche, les pieds dans la neige.

- Chef, la route seras longue pour atteindre l'ouest. Ne serai t'il plus sage d'attendre l'été ? Demande un de ses guerriers.

- Obéi aux ordres. Ici on attend pas. Lui répond t'il.

Vlad et sa troupe s'arrêtent devant une écurie. Assez de chevaux pour tout le monde. Chacun monte sur leurs montures. Vladizir se met devant, levant son épée, et pars au galop avec sa troupe. Les chevaux galopent à une vitesse incalculable. Les hommes arpentent les arbres, dans la neige, allant loin à l'ouest.
Quand la nuit tombe, dix des guerriers allument des torches. Mais aucun repos. Ces gens galopent encore la nuit dans le froid.
Un village aperçu par le chef de troupe se met en sécurité, avant que Vladizir descende de sa monture avec ses guerriers.

- Brûlez, voler tous, tuez les tous. Ordonne le chef de troupe.

Les guerriers commencent à ravager les habitations. Brûlent tous. Et se mettent à attaquer tous le monde. Aucun survivant.

- Reposons nous un peu. Dit un homme.
- NON ! On y va, aller, debout Saïde, Killaen, debout !

La troupe monte alors sur les chevaux et repartent vers l'ouest.

Leurs casques à la têtes, torche à la main, dans le grand froid, ils traversent l'est pour rejoindre l'ouest. Continuant de brûler chaque village croisant la route de la troupe. Pillant tous, et en tuant tous le monde. Les guerriers mettent même pour faire peur, des cadavres de leurs victimes accrochés aux chevaux.
Des vrais sauvages...