Nos destins divergent - LFL

「Chapitre : 2」

"bonne lecture"

- Donc, comme je le disais, cette technique est assez complexe au début mais tu as tout le potentiel pour y arriver. Quel est la différence entre nous, les sorciers, et eux, les moins que rien alias les moldus ? demanda Voldemort, l'homme serpent.
- On peut manier la magie alors qu'eux n'ont et ne peuvent avoir aucune capacité dans ce domaine, lui répondit Yuna.
- Et à ton avis, pourquoi ?
- Peut-être parce que notre sang n'est pas le même qu'eux ? Ou bien quelque chose de ce type.
- Hm. Je vois ce que tu veux dire. Ce que je vais te révéler durant cet entrainement est à l'heure d'aujourd'hui peu connue dans le monde des sorciers. Pour te dire à quel point c'est secret, aucun ministère de magie n'a été mis au courant, et on est une dizaine de vivants tout au plus dans le monde à le savoir.
- Et, qu'est ce cette chose ?
- Nous les sorciers avons chacun un point commun. Une espèce de force surpuissante concervée dans notre cerveau. Cette force est bien sûr intellectuelle et non physique. Elle se relie à nos baguettes et grace à elle, nous avons un cerveau surdeveloppé, une intelligence supérieure à celle des non mages, et cette source de magie on peut la manier à notre guise, bien qu'elle nous épuise. Pour pouvoir utiliser la magie sans limite, on doit s'entrainer à controler cette force mentale. Mais à l'heure d'aujourd'hui, aucun sorcier n'a jamais réussit à exploiter sa force à 100% ! Aucun, à l'exception d'eux... Les Quatre Créateurs. Salazar, Serdaigle, Poufsouffle et Gryffondor. On raconte dans notre lignée, celle des Salazar, qu'une force supplémentaire existe dans leur cerveau et ceux de leur sang. Une force spéciale que les Créateurs ont scellés, et ont fait de sortes à ce qu'elle soit disponible seulement chez les filles, et uniquement tous les mille ans... Vois-tu, je suis tellement chanceux de vivre à notre période ! Je suis né et j'ai survécu avec comme but principal de voir grandir l'oeuvre d'une puissance totale. Je pourrais recrée mon monde, avec mes idéaux ! et on vivra enfin en paix, grâce à cette force que j'ai réussit à obtenir. Elle est là, devant moi, et la seconde est deux étages en dessous du notre !
- Ah. C'est tout ? Et qu'est ce que ça change de connaître tout ça ou non ? Demanda Yuna, désinteressé.
- Les sorciers normaux, ceux de ton école par exemple, apprennent à lançer des sortilèges sans se poser la question de ce qu'il se cache derrière... On appelle ça être simple d'esprit, autrement dit naïf. Ils s'entrainent à lançer des sorts jusqu'à ce qu'ils réussissent, tout ça en pensant qu'il n'est pas nécéssaire de fournir des efforts puisqu'ils sont sorciers et que ça viendra tout seul. Nous, les rares qui savons penser plus loin, au delà des limites... En apprenant à malaxer notre puissance, on peut apprendre à devenirs de vraies légendes !
- J'ai cette question qui me trotte dans la tête depuis un petit moment... Vous avez parler d'une dizaine de personnes ? Ils sont donc si puissants, mais qui sont-ils ?
- Ils se font appeller Legendary Ten. Leur groupe se compose de dix sorciers, mais tu n'en connais que deux, lui répondit l'homme serpent en un souffle.
- Et qui sont-ils ?
- Albus Dumbledore, ainsi que Gellert Grindelwald.
- Eux ?! s'exclama Yuna, surprise. Mais Gellert est sencé être emprisonné, non ?
- Effectivement, il a été remplacé et Dumbledore a veillé qu'il oublie cette histoire de force. Il a veillé à salement endommagé son état, à vie, pour qu'il ne puisse plus jamais user de ses pouvoirs. Ils ont découvert le secret lorsqu'ils travaillent ensemble à la recherche des reliques de la mort. Par total hasard. Je n'en sais pas plus, mais je sais qu'ils ont trouvés les Legendary Ten très rapidement. A l'époque, ils étaient presque tous jeunes et n'avait pas encore de nom de groupe. A présent, ils se doivent de conserver le nombre de dix pour préserver la paix dans le monde, sans eux il aurait déjà pu être explosé, ne crois pas que je suis le seul à être considérer comme dangereux.
- Je vois... Mais dans ce cas, vous devez forcément en faire partie ?
- Que c'est idiot, se moqua Voldemort. Suis-je une relique de la paix ? Je ne ferais jamais partie de leur cause. Personne n'est jamais d'accord sur le même point, ils restent ensemble seulement pour ne pas oublier leur puissance, sa cause... J'ai découvert ceci en étudiant et comparant les corps des êtres non mages et mages, et j'ai confirmer mes doutes en fouillant dans les archives lorsque je cherchais encore le diadème d'une bibliothèque qui est à l'heure d'aujourd'hui en ruine, et qui appartenait à Serdaigle. Seul Dumbledore sait que je suis au courant. Il ne l'a de toute évidence pas encore annoncer à ses compagnons, autrement à l'heure d'aujourd'hui je serais mort ! -il se mit à rire-. Pour pouvoir mettre en place mes idéaux, je vais devoir les tuer. Tous. Les uns après les autres. Et tu m'aideras. Mais rassures-toi, je te ferais commencer par des missions très faciles, histoire que tu t'adapte à notre façon de faire.

Yuna ignora ses dernières phrases et décida de demander alors :

- A quel niveau peut-on devenir puissant ?
- Notre force serait tellement puissante qu'après avoir atteint les cent pour cent, on serait capable de détruire une planète.
- Dé-... Détruire une planète ?! C'est impossible ! Il faudrait une force surhumaine, il faudrait.. il faudrait être un monstre !
- Nous ne sommes pas de simples être humains. Nous ne sommes pas moldus. Tes camarades à Poudlard sont faibles. Pour te donner un ordre d'idée, je n'ai réussit à atteindre une puissance que de trente pourcents. Tes camarades à Poudlard doivent en avoir quinze de moins, suivant leur différent cas. Et après, ils jouent aux petits malins, hein ?! Mais je vais te dire une chose, ton Potter ne peut atteindre plus que mon niveau actuel !
-

Donc vous n'avez jamais été au delas de trente pourcents ? Même en malaxant votre.. hm, force ?
- Il se peut bien que... En ayant séparé mon âme, je ne puisse plus augmenter mon niveau. Ça m'embête vraiment, tu vois ? Mon ancien Tom Jedusor aurait tellement pu être puissant... Il était trop gourmant. Mais maintenant, je ne peut ni plus avancer, ni plus reculer. C'est pour cette raison que je te confie cette tâche à toi qui est ma fille. Atteint les cent pourcents, même s'il te faut des années.
- Actuellement... A combien de pourcentage je suis ?

Voldemort souria un instant. A vrai dire, tout se passait comme il l'avait espérer. Les questions qu'elle lui avait posé, les réactions qu'elle avait engendré... Tout. Il savait qu'elle avait la determination, il savait qu'elle n'aimait pas qu'on la prenne pour une faible. Il savait qu'au fond d'elle, elle avait soif de sang. Ces qualités la guideront au plus haut. Il savait qu'elle était puissante, qu'elle deviendrait surpuissante. Il savait ses façons de réagir, ses ambitions, ses rêves, ses espoirs, il savait qui elle deviendrait. Et même si il mourrerait, il savait qu'il pouvait compter sur elle pour s'occuper de certaines de ses ambitions... Puis il répondit à sa fille.

- Actuellement, tu as cinq pourcents tout au plus.