Bonus

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Chose promise, chose due! J'espère que ce bonus vous plaira.

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PDV Dylan

Je suis dans leur forêt avec Aliyah qui ne se gêne pas pour me lancer des regards haineux. Mais là c'est ma Tamara qui m'intéresse et rein d'autre. 

Bientôt nous arrivons dans une clairière et devant moi se tient une maison très grande -un immeuble oui. La fille aux cheveux gris de tout à l'heure sort et me lance un regard froid.

Cheveux gris*froide*: Je me demande comment elle a pu se retenir de te démonter. 'Fin bon, cherche-moi et t'aura pas autant de chance. Elle parle de manière détachée mais elle n'en est pas moins effrayante.

Aliyah: Et moi je me demande ce que je ferais pas pour Tam. Elle se tourne vers moi, son ton est plus tranchant. En parlant d'elle, tente quoi que soit d'idiot et tu le regrettera.

Moi*déterminé*: Je ne lui ferai jamais de mal.

Aliyah*sarcastique*: C'est ça. J'ai un pincement au cœur. Viens entre.

Elles entrent et je les suis. Je vois toutes les autres sauf Afton et ce Nils. Laissez-moi vous dire que c'est clair qu'aucune n'apprécie ma présence ici. Bref, je regarde le salon et il est bien décoré.

Pas le temps de m'attarder plus sur la déco de la maison que j'entends un cris de douleur. Je tiens reconnais cette voix et j'accours vers elle. Aucune d'entre elles  n'essaient de me retenir. J'ouvre sa porte dans un fracas et je m'élance vers elle pour la prendre dans mes bras. A mon contact, elle se calme petit à petit ce qui n'est pas pour me déplaire. Je me rends compte également qu'Alex semble plus apaisé -et toi aussi. 

Tout à coup ma Tamara se raidit et s'écarte brusquement de mon emprise. Je ressens un immense vide en moi. Alex me hurle de la reprendre. Alors j'avance vers elle mais elle recule jusqu'à se faire stopper par le mur. Gagné!

Elle*peureuse*: Ne t'approche pas de moi. 

Moi*ferme mais doux*: Non, tu es à moi.

Elle*rouge de colère: Je ne suis et ne serai jamais à toi!!! T'as compris? Pour moi, t'es qu'un inconnu et rien d'autre.

Ce qu'elle dit nous (Alex et moi) blesse et nous met dans une rage folle.

Moi*fou de rage*: Je suis ton âme-sœur et je t'interdis de me rejeter!!!

Elle*pareil que moi*: Tu n'es pas mon alpha, je ne te dois absolument rien. Et ce n'est pas parce nous sommes liés que ça change!!! Je ne veux pas que tu me touches alors reste où tu es.

Moi*fou de rage*: C'est qu'on va voir.

Je la vois esquisser un mouvement mais avant qu'elle n'ai le temps, je la plaque entre mon corps et le mur. Elle se retrouve immobilisée et sans issu. Sa respiration s'accélère et je vois de la peur dans les yeux. Ça me brise le cœur. Mais comme tout à l'heure sa peur se transforme en...haine? C'est pire qu'un coup de couteau.

Soudain elle m'envoie avec brutalité son genou dans mon entre-jambe. Je me plis en 2 en jurant. Elle en profite pour me pousser et sortir à toute vitesse de sa chambre. J'arrive tant bien que mal à me relever et me lancer à sa poursuite. Je la vois en pleure dans les bras de la rousse et entourée des autres. Dès que celle qui la tient me voit, elle me crie:

La rousse*sèche*: Qu'est-ce que tu lui as fait imbécile?

Moi*irrité*: J'ai simplement voulu la toucher et elle m'en a empêchée.

Cheveux gris*énervée*: Non mais il est con ou quoi!!! Si elle n'a envie que tu la touches, fous lui la paix.

Moi: C'est mon âme-

Cheveux bordeaux: Ton âme-sœur, on sait mais c'est pas une raison pour la forcer à ce qu'elle ne veut pas. Tu ne t'attiras que son mépris si ce n'est pas déjà le cas.

Aliyah*méprisante*: Toi qui disait que tu n'allais pas lui faire de mal. Mon œil oui!

Moi*peiné*: Mais je-

Cheveux auburn: Quoi? Qu'est-ce que tu vas dire? Que tu ne lui en a pas fait? Ouais et si elle pleure c'est notre faute peut-être?!!!

Moi*triste*: Dé-désolé, vraiment.

La rousse*soupire*: Peu importe. Kayl nous appelle tous.

Elle se lève et aide Tamara à en faire autant. Celle-ci essuie ses larmes et quand j'avance, elle recule d'un pas. Je me stoppe en me souvenant que c'est parce j'ai voulu l'approcher de force qu'elle s'est mise dans cet état. Aliyah prend sa main et sort. Toutes les autres se sont déjà éclipsées. 

En un seul regard [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant