Ils s'echangerent pendant quelques secondes un regard amical.
- Oh merci c'est gentil. Je vous prie de me dire le nom?
- Comment ça? Tu es sérieux? C'est Nathan.
- Euh Nathan excuse-moi, il faut compr..
Sa femme lui coupa la parole et lui demanda de repondre urgemment à sa maman et qu'elle allait lui ramener la bouffe. Cherif s'excusa et partit .
Faty le toisa pendant une dizaine de secondes avec dédain et s'approcha quelques centimètres de lui.
- Ecoutez Nathan, vous n'êtes pas sans savoir que Chérif avait eu un accident, Dieu merci. Il a perdu totalement la mémoire raison pour laquelle, il ne vous a pas reconnu , ça aussi Dieu merci. Vous allez me faire le plaisir et son plaisir de quitter sa vie. Il n'est plus dans vos bails, c'est fini pour lui, ce chapitre sombre de sa vie. As-tu vu comment il est heureux? En y repensant, il faut qu'on quitte à nouveau ce pays loin de vous et de toutes ses mauvaises fréquentations d'avant. Je serai ravi que vous quittiez definitivement sa surface. Pensez à changer monsieur, excusez-moi, finit-elle en se détournant de lui.
- Faty, je le sais autant que toi. Son cousin Cheikh m'en a touché mot. Je ne cherche à renouer contact avec lui comme vous nous aviez surpris, je suis venu juste par devoir amical. Mais sachez une chose, vous n'avez pas droit de me juger parce que vous ne savez réellement ce que je vis. Je m'excuse, saluez-moi Chérif. Heureux ménage
- Merci, bonne fin de soirée.
Elle demeura figée et l'accompagna du regard jusqu'à la porte. Tant pis, se disait Faty, elle ne faisait que securiser ce qui lui appartenaitChérif descendit et la vit arriver.
- C'était qui? Un ami? Lui demanda t-il
- Une ancienne connaissance de toi, chéri, dit-elle en l'embrassant.
La soirée se termina ainsi dans une très belle atmosphère où Chérif dansait ridiculement mais se défoulant avec gaieté et leur lune de miel devait se dérouler à l'’hôtel Neptune Saly pour le lendemain retourner au Canada où ils avaient déjà réservé une place sublime d'un mois.
Ils arrivèrent à leur lieu de destination dans une belle limousine. Pendant tout le trajet, Chérif ne lui avait lâché le temps de respirer. C'était à croire qu'il voulait finir une bonne fois pour toute la chose dans la voiture même. Ils furent accueillis par trois femmes qui les félicitèrent et leur souhaitèrent une bonne soirée après les avoir installés.
- Bébé, va te doucher le temps que je sors mes bagages...
Avant même de terminer sa phrase, elle sentit qu'on lui avait déjà tiré la main. Elle se redressa et vit déjà Chérif torse nu, habillé uniquement d'un caleçon qui lui serrait élégamment son intimité. Faty demeura bouche-bée face à lui. Les six mois passés, ils avaient tout fait sauf se déshabiller et avaient décidé de se découvrir d'un consensus lors de leur première nuit de mariage.
Elle n'avait regretté d'avoir attendu; le corps de son homme était diaboliquement bien bâti, la virilité pointait de la poitrine jusqu'aux pieds et son intimité semblait riche par ce maudit tissu qui le cachait. Elle frissonna d'un coup; Chérif le rejoignit , dégagea ses mèches et l'embrassa fougueusement sur son coupet defila sur ses lèvres. Ils se devorèrent pendant 4 minutes et Faty n'avait remarqué qu'elle était toute nue jusqu'à ce que Chérif la tira du sol et la prit dans ses bras pour l'amener sous la douche. Faty demeura inactive comme une chatte apeurée. Il la posa doucement dans la baignoire et la rejoignit sous l'eau chaude en lui caressant son corps soyeux. Chérif la contempla pendant quelques secondes comme une œuvre art. Il faisait face à une beauté rarissime jamais inégalée, ses formes plantureuses comme des monts qui ne souffraient d'aucune imperfection. Elle était la féminité, une déesse incarnée. Il lui mit du savon partout sur son corps en prenant le temps de scruter sur chaque parcelle et lui deroba discrètement son slip et lui tartina davantage le corps comme du nutella sur une crêpe chaude. Il la savonna davantage en s'échangeant de doux regards et en mit pour lui aussi. Leurs corps glissants s'entremélèrent, leurs lèvres combattaient frénétiquement mais soyeusement; il glissa sa main sur son épaisse chevelure, savourant leur texture soyeuse. Sa langue fit un voyage rapide de quelques secondes dans sa bouche en lui pompant soyeusement les seins qui s'étaient dressées comme des pommes mûres; elle gémit.
Chérif décida de suspendre la douche et lui torcha le corps d'une serviette blanche et l'emporta au lit en l'embrassant et la posa sur le lit en arrangeant la soyeuse couette qui leur était réservée. Il la sentit un peu cambrée , sûrement le stress se disait-il. Il lui susurra sur son oreille de se relaxer et qu'il allait procéder molo-molo, ce qui eut don s'assècher sa gorge davantage. Il fleurta avec ses oreilles en parcourant dans les recoins et coins puis attaqua à nouveau sa bouche diabolique qui savait lui filer des frissons. Dès qu'il sentit la cible pointée, il attaqua lentement, doucement et un peu farouchement; elle lâcha un cri strident.
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Deux puces ( Tom 2 )
AdventureMa plume qui ne fait objet d'aucune restriction a l'outrecuidance de toucher n'importe quel sujet et d'écrire tout ce qu'elle entend griffonner dans la mesure que tout se lie aux faits sociaux. Cette plume ne connait pas de tabou ; le tabou est , du...