LA REBELLE

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On était dans une brousse immense, je comprenais maintenant pourquoi il m'avait souhaiter bonne chance tout en se moquant de moi; il est vraiment con; il va m'entendre. Je me dirigeai avec rage vers sa chambre, je l'ouvris sans toquer et je lui criai dessus.
Moi: TU N'ES QU'UN SAL CON, TU NE POUVAIS PAS ME DIRE QUE C'ÉTAIT AINSI?
Il s'approcha de moi me tira par les cheveux ce qui me fit entrer dans sa chambre.
Lui: je t'ai déjà dit de ne pas me parler sur ce ton, je n'ai pas envie de te frapper donc ne me pousse pas à bout et si tu le fais tu risques te retrouver à l'hôpital, parce que je t'aurai frappé avec toute la rage que j'ai en moi. Je te le répète change moi ce sal comportement.
Moi: plus calmement mais tu ne pouvais pas me dire?
Lui: dire quoi? Que tu écoutes d'abord qui? Il fallait que tu confirmes de tes propres yeux. Nous sommes dans un coin très reculé personne ne se doute qu'il y a une maison ici et c'est moi seul qui donne les autorisations de sorties, c'est à dire que même si tu demandes à ton ami il ne pourra pas te faire sortir d'ici.
Moi:......
Lui: maintenant sort et n'entre plus sans frapper.
Je sortis et claquai sa porte, il m'énervait grave ce type. J'allai dans ma chambre, je me couchai sur le lit pendant un moment puis je sortie me faire à manger. Il vint me trouver au salon entrain de manger devant un film romantique. Il me regarda intensément, ce qui attira mon attention.
Moi: que veux tu?
Lui: va me servir à manger.
Moi: mais t'es.....
Je me suis rappelée de ce qu'il m'a dit que si je ne changeais pas mon comportement il risquerait m'envoyer à l'hôpital. Ce qui a fait en sorte que je n'ai pas terminé ma phrase.
Lui: tu as dit quoi?
Moi: rien je vais te chercher à manger.
Lui: t'as intérêt.
Je me levai et je lui rapportai un plat de nourriture. Il s'assit près de moi et mangea en visionnant aussi. On était dans un silence total quand je décidai de rompre le silence par une question.
Moi: euh Henri.
Il enleva les yeux de la télé pour me fixer.
Lui: quoi?
Moi: où sont les autres?
Lui: ils sont partis en congés pour deux mois.
Moi: deux mois? Mais pourquoi?
Lui: parce que c'est leur période de congés.
Moi: et tu ne pars pas?
Lui: d'habitude je vais souvent rester chez mon père mais comme tu es là ça change tout; je ne pouvais pas te laisser seule.
Moi: et ton père reste où?
Lui: tu poses trop de questions et tu m'empêche de voir le film. Donc de grâce ferme ce qui te sert de bouche et laisse moi finir le film.
Je me tus et on regarda le film en silence, quand une scène romantique passa où les deux acteurs principaux s'embrassaient, je jetai un coup d'œil à Henri, il était concentré il ne me gérait même pas. Je me levai et me plaçai devant lui.
Lui: ooor Queen qu'est ce que tu veux encore?