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Le lendemain je me fis belle et la première des choses que je fis était d'aller dans la chambre d'Henri.
Moi: j'entrai sans frapper à la porte bonjour Henri.
Lui: d'un ton sec et froid tu ne sais pas toquer? Sors maintenant et attends qu'on te dise d'entrer.
Je sortis puis je toquai trois fois, il me dit d'entrer.
Moi: re bonjour Henri.
Lui: je ne t'ai pas dit de prendre la parole.
Je baissai la tête pour manifester mon gène.
Lui: que veux tu?
Moi: euh juste te dire bonjour.
Lui: énervé je t'ai dit que j'avais besoin de ton bonjour?  Maintenant sort et ne revient plus ici.
Je sortis choquée et mal à l'aise.
J'allai dans la cuisine faire à manger; puis je m'assis devant la télévision et je regardai un film. Après un moment je le vis sortir avec deux hommes et il me lança un de ses regards qui me fit culpabiliser; quelques heures après je m'en dormi devant la télé. Je me suis réveillée vers 16h, j'ai mangé et je suis allée dans ma chambre, je pris un bain, m'assis près de la fenêtre et je regardai le couché du soleil.
Deux jours se sont écoulés je n'avais pas vu Henri. Ce jour je fis un très bon repas et je décidai de le lui faire monter moi-même. Quand je fis près de la porte de sa chambre j'entendis des bruits étranges et quand j'ouvris la porte mon cœur fit un BOUM; Henri était nu sur une fille; ils étaient entrain de faire l'amour; il me fixa avec une rage dans les yeux et me cria dessus: QUE FAIS TU ICI? JE T'AI DIT DE NE PLUS REMETTRE LES PIEDS ICI NHOO? MAINTENANT FICHE LE CAMP AVEC TA NOURRITURE. JE N'EN VEUX PAS.
Je sortis en pleurant et je m'en fermai dans ma chambre. Je fis deux jours à l'intérieur sans manger, sans boire, je ne faisais que pleurer. Stéphane ne faisait que faire des tours pour que je sorte mais je n'ouvris pas.
Le troisième jour je décidai de m'en remettre et d'éviter Henri au maximum; je pris ma douche je me fis très belle et mis une robe sexy comme dans le média. Quand je fis mon apparition dans le salon les gars disent: waouh la revenante tu es superbe.
Moi: merci.
On commença à s'amuser dans le salon comme des fous; je mis la musique tellement fort que Stéphane me dit: baisse le volume le boss est là.
Moi: je m'en fiche de lui.
J'interdisais quiconque de baisser le volume; je voulais qu'il sorte; je montai sur une table et je commençai à danser comme une stripteaseuse; les gars étaient assis et me regardaient m'amuser. Stéphane ne faisait que me dire descends de la Queen. Je ne le gerais même pas. Puis la voix grave d'Henri se fit entendre.
Lui: qu'est ce qui se passe ici? Qui a organisé ça?
Tous jetèrent un regard en ma  direction. Henri se retourna et me vit; il s'approcha de moi et me donna une gifle qui fit ticter mon cerveau et je vis des étoiles.

LA REBELLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant