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J'allai me coucher dans ma chambre.
Le lendemain je me réveillai à 9h, je pris une douche et je portai un habit comme en média. Je pris mon petit-déjeuner.
Une heure après Marthe vint me dire que Henri m'attendait dans la chambre de son père. On se rendit, quand je suis entrée j'ai vu un Mr avec des tubes partout sur le corps et Henri le tenait la main. Je m' approchai lentement; le Mr tourna la tête vers moi et me regarda; son visage reflétait quelqu'un de sévère.
Moi: bonjour Mr
Lui:.......
On resta ainsi pendant 20 minutes; les pieds commençaient à me faire mal et Henri le remarqua.
Henri: viens t'asseoir.
Son père: non c'est un manque de respect vis à vis de moi.
Son père s'adressant à moi: comment tu t'appelles?
Moi: je me nomme Queen Belle
Son père: c'est comme ça qu'on s'exprime?
Je baissai la tête pour cacher mon mécontentement et mon gène.
Lui: tu as quel niveau d'étude?
Moi: j'ai un baccalauréat Mr.
Lui: c'est insignifiant. Tes parents font quoi dans la vie?
Moi: je suis orpheline Mr; j'ai été élévé par ma tante.
Lui: donc tu veux épouser mon fils pour sa fortune?
Quand il m'a dit ça j'ai eu mal et j'ai regardé Henri; il était tout aussi gêné que moi.
Moi: non Mr je l'aime.
Lui: c'est toujours ce que les filles de ton espèce disent.
Quoi? Il venait de dire quoi? Les filles de mon espèce? Il sous-entend quoi par-là? Il va trop loin là. J'ai envie de lui arracher les cheveux. Mince il m'énerve.
Moi: sauf votre respect Mr je ne suis pas ce genre de fille; je sais me débrouiller et je n'ai nullement besoin de votre argent.
Lui: tu as du cran petite tu oses me tenir tête.
Moi: je ne pouvais pas rester là et voir comment vous m'insulter alors que vous ne me connaissez même pas.
Henri me fit signe de me taire mais je ne le gérait pas il fallait que je remette ce Mr à sa place.
Son père à moi: sors d'ici je dois parler à mon fils.
Je sortis en colère mais je ne partis pas je voulais écouter ce qu'il allait dire de moi.
Lui à son fils: cette petite me plaît bien, elle n'a pas peur de dire ce qu'elle pense, elle ne se fera pas marcher sur les pieds. Ce n'est pas comme toi qui était un peureux; j'ai dû te faire très mal pour que tu deviennes ce que tu es aujourd'hui. En tout cas vous avez ma bénédiction. Aller du balai.
Henri: merci papa
Je courus et j'entrai dans l'ascenseur j'étais contente mon beau-père m'aimait. Donc il faisait ça pour m'intimider.
J'ai passé une belle journée à me détendre.

LA REBELLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant