LA REBELLE

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Lui: j'étais encore petit quand tout à commencé; ma mère est morte quand j'avais 5ans et mon père a sombré dans la dépression car il aimait tellement ma mère et pour masquer son chagrin il a commencé à boire et a décidé d'être le plus grand voleur que le monde n'ai jamais connu;il m'a obligé à suivre ses pas, j'ai refusé parce que je savais que voler était mal, il m'avait tabassé parce que j'avais refusé et je me suis retrouvé à l'hôpital où j'ai failli succomber à mes blessures, mais il avait fait en sorte qu'on évacu d'urgence hors du pays où j'ai reçu les soins plus sophistiqués. J'ai fais 10 ans là-bas je me suis formé à l'école pour être un homme intègre. Je croyais que j'allais rester hors du pays pour faire ma vie, mais il m'a fait revenir ici et quand je suis revenu il m'a torturé jusqu'à ce que j'ai cédé et c'est donc comme ça que je suis devenu le chef du gang de mon père.
Je suis restée sans mots, cette histoire m'a choqué. Le pauvre il a souffert plus que moi. Je comprends maintenant pourquoi il est si dure il m'a pas reçu l'amour qu'il aurait dû avoir. Je le pris dans les bras et dit:
Moi: je suis désolée bébé.
Lui: il sourit ce n'est pas de ta faute.
Moi: il est où ton père?
Lui: dans une autre ville; il est très malade.
Moi: c'est pour lui que tu as envoyés tes gars braquer la pharmacie où je me trouvais?
Lui: oui c'était l'idée de mon père puisque c'est lui qui donne les directives.
Moi: mais vous avez franchement d'argent pourquoi tu ne le ramène pas hors du pays pour qu'il se fasse soigner?
Lui: tu sais il est le plus grand bandit il ne veut pas utiliser son argent il préfère voler et il ne veut pas aller à l'étranger, il dit qu'il est bien chez lui qu'il ne veut pas passer ces derniers jours dans un hosto avec des tubes partout.
Moi: c'est quoi comme maladie?
Lui: le cancer.
Moi: oh mon DIEU je suis vraiment désolée bébé.
Lui: j'attends qu'il meurt pour pouvoir arrêter. Je ne veux plus de cette vie.
Moi: et pour les autres gars tu feras comment avec eux?
Lui: je vais leur donner une somme colossale pour qu'ils puissent recommencer leur vie.
Moi:c'est génial je savais que tu étais quelqu'un de bien au fond.
Il me sourit et me fit un bisou sur le front; puis on a commencé à s'amuser comme des enfants.
Un mois plus tard je lui dis pendant qu'on était allongé sur notre lit (oui notre lit,j'ai aménagé dans sa chambre mais nous n'avons pas encore coucher ensemble)
Moi: bébé
Lui: oui ma princesse
Moi:j'ai un service à te demander.
Lui : tout ce que tu veux princesse
Moi: je veux voir ma tante
Lui: tu sais que c'est impossible.
Moi: oui mais on ne rentrera pas chez elle je veux la voir même si c'est à distance. Elle me manque trop.
Lui: hum
Moi: stp bébé
Lui: ok on ira demain, mais je ne te laisserai pas t'approcher d'elle.
Moi: ok bébé merci je t'aime.
Lui: moi aussi je t'aime ma luciole.
Et nous nous endormirent.