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Je descendis parce que j'étais déjà prête; je m'habillai comme dans la photo multimédia mais j'ajoutai des lunettes de couleur noire pour cacher mon visage enflé; je cachai au maximum mes bleues mais ça se voyait toujours.
J'arrivai dans la chambre de son père; Henri était assis; nos regards se croisèrent je lui lançai un mauvais regard mais il ne pouvait pas le voir parce que j'avais des lunettes.
Je m'approchai de son père
Moi: bonjour papa
Lui: bonjour ma fille; comment vas tu?
Il ne m'avait pas encore vu.
Moi: je vais bien papa
Il se tourna vers moi
Lui: ma fille pourquoi tu portes des lunettes de soleil dans la maison?
Moi: euh papa je n'ai pas bien dormi.
Lui: c'est quoi ces bleues sur ton corps.
Je baissai la tête et ne dis rien.
Lui: qui t'a fait ça?
Moi:.......
Lui: réponds ma fille n'ai pas peur.
Moi:en pleure  papa c'est Henri qui m'a fait ça.
Lui: enlève tes lunettes.
Je les enlevais et il s'exclama.
Lui: ma fille laisse-nous.
Je sortis et je me plaçai derrière la porte pour écouter.
Lui à son fils: tu n'es qu'un con. Comment tu peux faire ça à la femme que tu prétends aimer? Tu m'avais déjà vu mettre main sur ta mère? Le jour que tu lèves encore main sur ma belle-fille je te fais enfermer. Maintenant sort enfant démon et appelle moi Queen.
Je courus et j'allai m'asseoir sur le canapé et il vint me dire que son père vouloir me voir de nouveau.
J'entrai et il me donna des conseils; je lui dis au revoir. Et j'allai attendre le bon Mr dans la voiture. Il vint me rejoindre et dit au chauffeur de démarrer.
On roula pendant 2h dans un silence absolu. Puis il décida de rompre le silence en disant.
Lui: ma luciole je suis désolé je ne sais pas ce qui m'a pris.
Et il essaya de me toucher.
Moi: ne me touche pas.
Lui: stp je suis désolé.
Moi:........
Je collai la tête contre la vitre de la portière pour ne plus écouter ce qu'il disait. On fit tout le voyage sans se dire un mot. Il voulu m'adresser la parole à maintes reprises mais je ne lui donnai pas l'occasion.
On arriva chez nous vers 22h; ma tante et Michel dormaient déjà; il y avait que les gars au salon. Je ne saluai personne et je montai en toute vitesse.
Les gars montèrent nos affaires, je leur dis de mettre les miennes dans mon ancienne chambre; Henri s'y opposa et ils  écœurèrent leur boss.
Ils déposèrent les sacs et s'en allèrent. Stéphane me lança un regard d'incompréhension mais je ne le gerais même pas. Comme j'étais au couloir; je voulais partir dans mon ancienne chambre,  Henri m'attrapa le bras et me dit:
Lui: stp ma luciole ne me fait pas ça; je te pris de me pardonner. Je te promets que je ne le ferai plus jamais. Ne retourne pas dans ton ancienne chambre; je sais que tu es fâchée.
Il se mit à genou
Moi: tu fou quoi là? Lève toi.
Lui: non je veux que tu me pardonnes d'abord.
Je sais que si je ne lui disais pas que je te pardonne il allait rester là et j'ai horreur que l'on se met à genou devant moi. Je ne suis pas DIEU.
Moi: ok mais la prochaine fois que tu le fais je t'abandonne.
Lui: d'accord  ma luciole et merci pour ton pardon.

LA REBELLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant