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Lui: tu te prends pour qui dans cette maison?
Il se retourna et dit aux autres gars: laissez-nous et que je ne vois personne espionner sinon c'est une balle que la personne recevoir dans la tête; tous disparaissaient comme l'éclair.
Je me retrouvais seule avec lui et je commençai à trembler.
Lui: maintenant tu as peur? Je t'avais dit que je ne voulais plus te voir t'habiller ainsi dans cette maison oui ou non?
Moi:.....
Lui: quand je te parle tu réponds pétasse.
Il me donna une seconde gifle.
Moi: en pleurant oui tu me l'as dit.
Lui: et pourquoi tu n'en fais qu'à ta tête? Tu veux mourir c'est ça?
Moi: non.
Lui: vas vite te changer!!
Je montai en courant et je m'en fermai dans ma chambre et je commençai à pleurer de toutes mes forces.
Je fis deux semaines je ne sortais pas de ma chambre, Stéphane se chargeait de m'apporter mes repas.
Un samedi il vint me faire sortir de force de ma chambre et m'emmena dehors. Il me jeta dans la piscine et il plongea aussi; on s'amusa comme des fous; il avait réussi à me donner du sourire. Il me pris dans ses bras un moment en me chuchottant dans l'oreille: ne soit pas triste Queen, tu sais cette maison est bizarre quand tu ne descends pas t'amuser avec nous; les sont triste. Après ces mots il me fit un bisou sur le front et nous sortimes de la piscine. Quand je me rendais dans ma chambre toute mouillée avec les habits qui retraçaient toutes les formes de mon corps, je vis Henri adossé sur la porte de sa chambre les mains dans les poches; je fis mine de ne l'avoir pas vu et je voulus passer quand il attrapa mon bras et me dit: tu sors d'où ainsi?
Moi: ce ne sont pas tes affaires.
Lui: tu recommences?
Moi: je ne suis rien pour toi; par conséquent je n'ai pas à te rendre compte de quoique ce soit sur ma vie.
Il me tira dans sa chambre et me plaqua contre la porte et il commença à me caresser et à m'embrasser en même temps. Je réussis à me détacher de son empire et je lui administrai une bonne paire de gifle à mon tour et je dis:
Moi: ne t'avise plus jamais de recommencer, je ne te permets pas de jouer ainsi avec mes sentiments.
Lui: je ne joue pas avec tes sentiments, j'éprouve la même chose que toi.
Moi: et c'est comme ça que tu manifestes ton amour? En frappant celle que tu prétends aimer?
Lui: j'ai fait ça parce que je refusais d'accepter que je t'aimais. Je n'ai jamais ressentis ça pour une fille et tu es aussi insolente.

LA REBELLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant