Il ne parlait pas beaucoup... C'était un peu comme si il avait essayé d'apprivoiser sa voix. Cette voix trop grave, trop rauque, trop virile. Cette voix qui me rendait totalement perméable à lui. Cette voix si unique que lui seul possèdait. Il ne parlait pas beaucoup , et s'en était presque dommage... Sa voix réchauffait mon coeur, mon corps, et même mon âme... Sa voix éloignait mes peurs, mes démons, et toutes les flammes...
Sa voix était à son image ; unique, presque un mirage...
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Pensée
PoetryAssemblement de mots impersonnels trop personnel... Ps: Pourquoi commencer par les débuts quand les fins sont bien meilleures ? ;)