"La vérité c'est que j'ai ressentis en lui des choses que je n'avais jamais ressentis auparavant... Il a une sensibilité que je ne saurais expliquer, un regard que je meurs d'envie d'explorer, et une âme qui semble me posséder. Je ne saurais pas dire pourquoi, mais lorsque nos regards se sont croisés pour la première fois, j'ai senti en moi comme un courant d'air, emmenant au loin tout mes doutes, tout mes tourments. Comme si je savais au fond de moi que c'était le bon...
Quand nous étions dans la même pièce et pourtant si loin à la fois, comme si nos clans distinct créaient la barrière qui nous séparait, quand nos regards se rencontraient des deux coins opposés de la salle, là je me disais : Je sais que c'est lui, et j'espère qu'au fond de lui il le ressent aussi. Et je me ravisais car, naïve, je n'avais pas prêté attention à la prison pourtant si douce qui le renfermait...
Et aujourd'hui encore je ne sais comment lui faire comprendre qu'il me plait, devrais-je lui dire , ou éternellement me taire ?"
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Pensée
PoetryAssemblement de mots impersonnels trop personnel... Ps: Pourquoi commencer par les débuts quand les fins sont bien meilleures ? ;)