Tu sais, j'ai encore rêvé de lui... Il me serrait contre lui et me murmurrait des mots si délicat à l'oreille. Il me murmurrait de ne pas partir, de ne pas l'oublier. Notre étreinte durait , et paraissait si réelle. Plus il me serrait contre son torse chaud et musclé, plus je sentais mon coeur se briser. Même dans ce rêve, il savait qu'on ne pourrait jamais s'aimer. Pourtant , nos corps entrelacés semblaient prétendre le contraire. Contre lui je me sentais complête, et tellement vivante. Je sentais presque son souffle chaud effleurant ma nuque... Je rêvais de lui et c'était terrifiant. Premièrement parce que j'étais censé l'oublier, et secondement parce que même dans ce rêve on savait tous les deux qu'on souffrirait.
Je ne voulais pas me réveiller. J'avais l'impression d'être dans un monde parallèle où j'aurais voulu rester à jamais. À jamais auprès de lui. Ce rêve était le plus beau de tous. Un corps à corps entre nos deux ames tourmentées.
Mais je savais que ce n'était qu'un rêve, et le réveil fût difficile. J'eu la sensation d'étouffer,comme si on entravait mes voies réspiratoire. Même dans mes rêves, c'était indéniable qu'il me manquait.
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Pensée
PoetryAssemblement de mots impersonnels trop personnel... Ps: Pourquoi commencer par les débuts quand les fins sont bien meilleures ? ;)
