Constament dans mes pensées,
Il ne cesse de me hanter.
Fantasme impossible,
Je reste immobile.
Je suis perméable à lui,
Comme lorsque tombe la pluie.
À ses mots, ses sourires,
Je me sens défaillir.
Et quand son regard repose sur mon corps,
Je sens qu'accourt la mort.
Foutu lois de ce pays,
Qui nous privent de cette vie.
J'aime tout de lui.
De ses cheveux en bataille ,
Jusqu'au moindre grain de sa peau.
Je divague entre mon coeur et la raison,
Quant aux lois ,
Je n'en ai que faire.
Dernier regard au ciel,
Mais ils m'ont coupés les ailes.
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Pensée
PoetryAssemblement de mots impersonnels trop personnel... Ps: Pourquoi commencer par les débuts quand les fins sont bien meilleures ? ;)
