Mon histoire

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J'ai gravi l'échelle, parfois je me suis mordu les doigts

Pendant que mes agresseurs de cœur recevait toute l'attention et faisait les beaux

Sur les photos

Je criait ma peine jusqu'à ne plus avoir de voix

Car  en m'harcelant ils avaient pris une partie de moi

Je frappait le mur invisible qui me séparait de vous pour qu'on m'entendent et jusqu' à ce que mes poings soient en sang

Tu trouves ça horrifiant ?

Alors tu n'ai pas près pour la suite... 

Tant qu'il est temps par vite !

Tres cher! J'en ai marre de faire semblant !

Marre des gens qui se croient innocent

Marre d'aider des gens

Qui ne sont pas reconnaissant

Marre des gens qui jugent sans connaître !

Et qui  t'enfonce car tu n'aurais jamais du naître

Mais moi, ils auront beaux essayés de me noyer

Je respirerait encore

Car je ne doit surtout pas abandonner !

Je l'ai promis au personne que j'ai perdu, à mon âme, à mon être et à mon corps !

Tiens en parlant de ce dernier ! L'apercevoir dans la glace encore

Me fais pleurer toute les larmes de mon corps

Marre de ce corps que je traine,

Tout les jours avec haine !

Portant les traces rouges

Sur mes côtes et mon bassin

De mes ongles qui bougent

sur ces derniers comme pour faire un macabre dessin

Ha! Ma pauvre âme cogite, ne sais pas quoi faire pour m'aider

Et mes pensées font trop de bruit

Je ne m'entend plus respirer !

Alors je sort parfois la nuit

Histoire de me calmer!

Ma mère, la lune m'attend dehors pour m'apaiser, me consoler

Tandis que ma sœur, la brise froide de la mer me prend dans ses bras

Mais parfois , ça ne suffit pas

Alors j'ouvre mon ventre et j'écris avec mes tripes encore bouillante

Peut m'importe si cette vision vous hante

Je vomis mes paroles et mon sang
Et je dispose cela avec élégamment

Ça s'étale sur ma feuille avec une couleur âcre

Et là je craque

J'hurle, je pleure , j'expulse tout

Je repense à un peu de tout

Et j'espère !

J'espère que quelqu'un, un homme un jour me comprendra

Me prendrait dans ses bras

Séchant au passage mes larmes

Baissant les armes

Et me murmurait que tout est fini que je peux enfin vivre heureuse , libre de mes fers

Tout comme le couple avant hier
qui s'embrassairent

Devant l'ado sucidaire

Qui grognait de les massacré avec sa plume velléitaire

                                     ~20 février 2019~

Paroles d'une fille de la lune Où les histoires vivent. Découvrez maintenant