37 : Comme le ciel

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Et ben wouah, vous êtes vraiment super. Moi ? J'oublie complètement de poster vendredi dernier. Et vous ? Vous vous plaignez pas, vous dîtes rien <3 Je voulais vous poster plusieurs chapitres d'un coup pour me faire pardonner mais je vais avoir besoin d'étudier un peu la question, de remettre plusieurs choses en place. On arrive dans les eaux troubles du (cinquième) premier jet, où j'ai réécrit le plus et corrigé le moins pour l'instant.

Si vous aviez lu les versions précédentes, c'est maintenant que Radical prend un nouveau tournant un peu... ABRUPTE (8D) par rapport à ce dont vous vous souvenez peut-être.

Prochain chapitre vendredi prochain sans faute, comme promis !


***


37 : Comme le ciel


— Monsieur !


Non...


— Monsieur, j'entre !

— Cassez-vous...


Jolt rabattit la couette par dessus sa tête.


— Je monte.

— Mais putain, siffla-t-il.

— Vous allez bien ?


Oh, c'était la voix de Force... Il sortit le bout du nez, pas plus.


— Qu'est-ce que tu veux ?


Sa voix était encore alourdie de sommeil. Il ne se souvenait pas du cauchemar qui lui avait éviscéré les tripes, c'était un mieux.


— Il y a un petit incendie, je dois vous évacuer.


Jolt se redressa d'un bond.


— Quoi ?


La claque. Ça le réveilla d'un coup. Force était assis sur le lit, penché sur lui, surpris de le voir prêt à sauter au plafond.


— Il y a le feu ?

— Oui.


Jolt regarda frénétiquement autour de lui.


— Pas ici, dans les quartiers de Satine.


C'était quand même trop proche.

Une minute... Satine ? L'agente Georges ?


— Quelle...


Il l'avait vue, Jolt l'avait vue. Il avait frappé à sa porte, il...


— Quelle heure il est ?

— 3h30 passées, Monsieur.

— Arrête !... Force... Arrête de m'appeler Monsieur.


Trop d'informations trop rapidement, il avait besoin de faire le tri. Les doigts à ses tempes, peut-être dans l'espoir de lisser ses pensées, Jolt essaya de respirer profondément. De chasser la panique qu'il entendait revenir au galop.


— Je... J'étais avec elle...


Force se redressa, soucieux.


— Quand ça ?

— Tout à l'heure, j'étais perdu, elle m'a ramené ici.

— Perdu ?


Jolt se raidit. Perdu oui. Sur le moment, il n'avait pas su exactement où il se trouvait, il avait marché quelques mètres et trouvé là une porte au nom de Satine Georges.

RADICAL : T1 「MxM」Où les histoires vivent. Découvrez maintenant