Chapitre 22 PDV de Florian

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J'ai l'impression que tout ce qui s'est passé aujourd'hui est irréel. Que Ambre n'est pas malade qu'elle ne m'a pas menti, que nous nous sommes pas embrassés. Mais tout s'est vraiment passé, et je sais à présent que je l'aime, d'un amour puissant et profond, et j'ai peur, si peur pour elle. Je suis aussi blessé qu'elle m'est menti aussi facilement et elle ne regrette même pas : "Je voulais te protéger." tels sont ses mots, mais moi je nie, jamais elle ne pourrait me faire du mal. Des sentiments se mélangent en moi : amour et colère, ils se battent pour savoir lequel prendra toute la place. Je suis allongé sur mon lit, il est deux heures du matin et je n'ai pas dormi de la nuit, bien trop occupé à me remémorer les événements de la journée. Soudain mon téléphone vibre et je me doute de la personne qui m'envoie un message. 

📩Ambre: J'arrive pas à dormir... 

Je souris et plisse les yeux à cause de la luminosité de mon écran. 

📩Moi: Moi non plus. 

📩Ambre: Je pensais à nous... enfin, à ce que nous sommes maintenant. 

📩Moi: Et ? 

📩Ambre: Bah, notre baiser doit vouloir dire quelque chose. Désolé je n'ai pas l'habitude de ce genre de chose. 

Je ris légèrement et mon cœur se met à tambouriner dans ma poitrine. 

📩Moi: Je t'avoue que moi non plus, mais oui, cela signifie que tu m'aimes sûrement, je l'espère parce que moi oui. 

"Wow, ça fait bizarre de l'avouer comme ça." Je n'ai pas vraiment réfléchis, c'est venu naturellement. J'observe mon écran, vois le petit "vu" s'affiché et Ambre qui écrit à son tour. 

📩Ambre: Je crois bien que oui, tu m'as en quelque sorte sauver Florian, de moi-même. Même si je sais que tu ne comprends pas mon choix, je sais aussi que tu m'aimes malgré cela et je t'en suis très reconnaissante, je sais pas ce que pourrai faire sans toi. 

📩Moi: C'est grâce à toi qu'on s'est rencontré, alors c'est moi qui te remercie, maintenant il est temps de dormir, on se voit demain ? 

📩Ambre: Bien sûr, bonne nuit. 

Je souris lorsque je reçu un emoji coeur en guise de bonne nuit et pose mon téléphone sur ma table de chevet. Je passe un bras sous ma tête et continu de sourire, jusqu'à ce que mes paupières s'alourdissent et que je sois plongé dans l'océan du sommeil et de ses rêves. 


(Chapitre assez court, je m'en excuse, c'est la faute au manque d'inspiration. ) 


Elle s'appelait AmbreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant